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jeudi 26 septembre 2024

Avis de décès

 

Nous avons appris la disparition de notre ami

Alain DUGABELLE 81 ans
Les obsèques sont prévues ce vendredi 27 septembre

au Crématorium de Réveilla à Martigues

Fermeture du cercueil avant 15h15 suivi d’un hommage à 15h30




Le CIQ et tous ses amis présentent à Madeleine et à ses enfants toutes leurs condoléances.

Colette Lopez présidente

             René Guigue secrétaire 


Reprise de la déconstruction des cheminées

 



EDF nous informe :

Les conditions pour lancer l'essai de sciage sur la cheminée Tranche 3 ont été approuvées cette semaine.

Le déroulement de cet essai est prévu à partir de la mi-octobre (14/10), pendant une période de 2 semaines.

Pour la première quinzaine de novembre, les résultats seront étudiés.

Mme RAMASSOTTO s'engage à nous fournir davantage de précisions concernant le planning et à nous transmettre les enseignements tirés.


dimanche 22 septembre 2024

Les travaux du viaduc seront terminés d’ici octobre

 

Les travaux du viaduc

seront terminés d’ici octobre

Après deux ans de remise en peinture et de réparation des fissures, le pont autoroutier sera rendu aux usagers, paré d’une nouvelle couleur gris clair dans ses conditions habituelles de circulation début octobre.

 


Depuis 2012, l’État a investi 12 millions d’euros pour réhabiliter le viaduc. PHOTO A.M.

Bientôt finies la limitation de vitesse à 50 km/h et la réduction des voies ! Les travaux du viaduc autoroutier seront achevés d’ici le début du mois d’octobre, avec un retrait de la signalisation et une libération de la bande d’arrêt d’urgence dès le 30 septembre. Le chantier, dont la livraison était initialement prévue au printemps 2024, avait pris du retard suite, notamment, à un arrêté de l’inspection du travail qui avait jugé le taux de plomb dans l’air trop élevé.

Piloté par la Direction interdépartementale des routes Méditerranée (Dirmed), la réhabilitation du viaduc a été programmée en plusieurs étapes. Entre 2012 et 2014, la précontrainte des tabliers en béton a été renforcée et le système parasismique a été mis en conformité. De 2019 à 2021, l’étanchéité a été reprise, des bassins ont été créés afin de traiter et assainir l’eau récoltée et les chaussées ont été renouvelées. Depuis avril 2023, ce sont les fissures de fatigue et la remise en peinture du tablier métallique de 23 000 m2 qui ont occupé les équipes. Près de 70 personnes ont travaillé quotidiennement sur ces travaux, suspendues à des modules de 42 tonnes accrochés à 50 mètres de haut qu’il fallait déplacer tous les 15 mètres. « Nous avons réalisé une trentaine de démontages et de remontages des échafaudages », souligne le chef de projet de la Dirmed, Alain Arbaut.

Les 80 000 usagers quotidiens du viaduc sont tranquilles pour les deux années à venir. Mais fin 2027, ce sera au tour du platelage de se refaire une santé. « On est en phase de pré-étude avec le Cerema et l’université Gustave Eiffel, car le procédé qu’on pense utiliser est innovant », explique Denis Borde, directeur de la Dirmed.

 

vendredi 6 septembre 2024

Fête des Quartiers

Fête des Quartiers

En raison des conditions climatiques la fête est déplacée 
de la plage des Laurons vers la Maison pour tous de Saint julien 
ce samedi à partir de 11h30.
Les bénévoles qui souhaitent participer à la mise en place se retrouvent à partir de 9h30 à la MPT .


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jeudi 5 septembre 2024

concours de peche

 




Le centre hospitalier de Martigues, pionnier de la télésurveillance pour l'insuffisance cardiaque

 

Le centre hospitalier de Martigues,

pionnier de la télésurveillance

pour l'insuffisance cardiaque


À gauche, le docteur Serge Yvorra, chef du service cardiologie, et à droite, Emeline Wentzlow, infirmière spécifiquement formée à l’insuffisance cardiaque.

Photo R.L.

Le service cardiologie de l'hôpital de Martigues expérimente un programme 2.0 visant à améliorer la prise en charge des patients atteints d’insuffisance cardiaque. Les premiers résultats sont plus qu’encourageants.

Et si le centre hospitalier de Martigues (CHM) devenait une locomotive française en matière de traitement de l’insuffisance cardiaque ? Depuis juin 2023, son approche de cette pathologie chronique - qui tue près de 70 000 Français par an et représente le plus gros poste de dépenses de la sécurité sociale -, a pris un virage numérique des plus intéressants.

Constatant, au sujet de cette maladie, que le taux de "réhospitalisassions" (quand le patient retourne à l’hôpital dans les semaines suivantes) était trop élevé, le service cardiologie des Rayettes a décidé de prendre le taureau par les cornes. Il a donc lancé un projet dit de "télésurveillance". Quésaco ? La télésurveillance permet à un professionnel de santé d’interpréter à distance, grâce à l’utilisation d’un outil numérique, les données de santé du patient recueillies sur son lieu de vie puis de prendre des décisions relatives à sa prise en charge.

En optant pour cette option des plus modernes, le service cardiologie martégal cherche à "améliorer la prise en charge des patients", leur accompagnement au quotidien, mais aussi à réduire le nombre et la durée des hospitalisations. Dans le cadre de ce projet, donc, "tout patient, à la sortie d’une hospitalisation pour insuffisance cardiaque, se voit proposer un suivi rapproché", explique le docteur Serge Yvorra, chef du service cardiologie depuis 2010.

Comment ça marche ?

Depuis chez lui, le patient (ou un de ses aidants) répond plusieurs fois par semaine, via une application, à un questionnaire des signes "EPOF" : essoufflement, prise de poids, œdème des jambes et fatigue. Il doit aussi se peser régulièrement. Un algorithme va ensuite établir en temps réel, et selon l’évolution des indicateurs cités, si son état de santé est stable, ou s’il nécessite au contraire une vigilance accrue du corps médical. À Martigues, deux infirmières spécifiquement formées à l’insuffisance cardiaque - appelées "Ispic" - ont ainsi directement accès aux données du patient, et gèrent les alertes envoyées par l’outil numérique.

Elles assurent un accompagnement rigoureux, établissent leur propre diagnostic, prescrivent des médicaments, et ont en prime les compétences requises pour ajuster son traitement. Ce qui réduit d’une part le nombre de réhospitalisation, et d’autre part.… le taux de mortalité ! Par ailleurs, cela évite le passage aux urgences, dont on connaît l’encombrement et les délais d’attente. "C’est un nouveau métier", estime le Dr. Yvorra. Notez que ces missions, insiste l’Ispic Emeline Wentzlow, sont rendues possibles grâce à un protocole légal de coopération passé avec le cardiologue.

Cette nouvelle approche, plus globale, et basée sur la télésurveillance, tend surtout à dépister précocement les décompensations cardiaques ; une phase aiguë de l’insuffisance qui peut être fatale. D’autant qu’elle est associée, dans la pratique, a des séances d’éducation thérapeutique, et à un dispositif déjà existant ("Prado") appuyé quant à lui par l’Assurance maladie. De quoi développer aussi les liens entre la ville et l’hôpital !

Pour l’heure, cette nouvelle méthode de travail semble fonctionner. "Ça dépasse toutes mes espérances, je suis extrêmement satisfait, commente même le Dr. Yvorra, qui précise que les patients sont très contents d’avoir des tuteurs."

Premier bilan prometteur

Les résultats connus sont en effet plutôt élogieux ; sur les sept premiers mois, 60 patients avaient suivi le programme pour "seulement" 5 décès, soit 8 % de l’échantillon. "C’est moitié moins que la moyenne nationale", assure le cardiologue martégal. Aujourd’hui, un peu plus d’un an après le lancement, ils sont plus de 130 à avoir bénéficié du projet de télésurveillance des Rayettes. Cerise sur le gâteau, l’approche aurait également des vertus économiques ; en limitant la gravité et le nombre de réhospitalisation, elle diminue de facto les coûts de prise en charge.

Un exemple à suivre ?

Sur le long terme, le Dr. Yvorra espère enfin que ce projet permettra de "multiplier les synergies avec la ville", en développant notamment "un maillage post-hospitalier" à l’échelle du territoire ; l’idée étant que les cardiologues travaillent de concert avec les infirmiers libéraux, les médecins généralistes, les spécialistes, etc. De manière à améliorer toujours plus le parcours santé du patient, et lutter contre l’isolement médical. Si son expérimentation continue à porter ses fruits, nul doute que le service cardiologie de Martigues sera consulté, voire imité dans les années à venir - d’ailleurs, son savoir-faire en matière de télésurveillance est déjà reconnu : "On a que des éloges", glisse le Dr. Yvorra. D’autant que cette approche 2.0 est tout à fait compatible avec d’autres champs d’application ; elle n’est pas exclusive à l’insuffisance cardiaque. Plutôt prometteur.


mardi 3 septembre 2024

QUARTIERS EN FETE

 





Réunion ordinaire bureau CIQ

 


Réunion ordinaire bureau CIQ

Jeudi 5 septembre à 17h30 à la maison des Laurons
Réunion bureau ouverte à tous.



Ordre du jour
- Retour sur les problèmes d’internet
- Prise en compte de la demande de subvention.
- Préparation de la fête des quartiers ce samedi 7 septembre
Le CIQ tiendra une animation sur la confection des fleurs.
- Questions diverses et retour sur les questions restées sans réponses sur la circulation et les transports .
René
Secrétaire CiQ 

Réunion fibre

 


Réunion fibre

Compte-rendu de la réunion du 22 août à la Maison des Laurons :

 

Cette réunion s’est tenue avec l’élue du quartier Odile Teyssier-Vaisse, Eric Jacquemin (AEP service développement des quartiers) et Colette Hugues-Lopez présidente du CIQ.

 

Nous apprenons que ;

-         La mairie s’engage à évacuer le pylône en béton qui est à terre dans la semaine qui suit ainsi qu’installer deux poteaux : un pour rétablir l’éclairage ainsi qu’un autre afin que Orange puisse se brancher. Ces poteaux sont provisoires.

 

-         L’ élu Gilles Picard du service informatique qui a des contacts avec Orange sera informé.

 

 

Par ailleurs, Monsieur Monrose demande à la Mairie de contacter l’ARCEP (Autorité de régulation des télécommunications).

 

Les sous-traitants des serveurs appelés pour rétablir les contacts sont unanimes : l’installation globale n’est pas conforme à une bonne utilisation. Ces intervenants ne sont pas payés de leurs déplacements lorsque le contact n’est pas rétabli.

 

Nous verrons dans les jours à venir si la sensation de nombreux habitants des Laurons se vérifie : celle d’habiter dans un quartier totalement abandonné.

 

Le CIQ

 


couleurs de l’Italie

 

La ville de Martigues s’habille aux couleurs de l’Italie

Mythique rendez-vous de la ville de Martigues, le festival « les Italiennes » prend place du 4 au 8 septembre, mettant à l’honneur la gastronomie et le carnaval vénitien.


Les costumes de l’Association des Masqués Vénitiens de France seront visibles tout le week-end dans les rues de Martigues. Photo DR

La ville de Martigues accueille l’Italie du 4 au 8 septembre. Comme chaque année, le marché artisanal et gastronomique « les Italiennes » prendra place au jardin public de Ferrière. Vins, charcuteries, fromages, pâtes… C’est toute la culture culinaire italienne qui sera mise à l’honneur, avec la possibilité de goûter les spécialités proposées par le restaurant piémontais « Italia ! Pasta e Passione » et le food-truck « Sicily Zone ». Devenu, au fil des années, une institution pour la ville de Martigues, ce rendez-vous réunit chaque année des centaines de personnes.

Ambiance à l’italienne

Pour faire bouger les visiteurs, deux soirées-concerts sont organisées, le vendredi et le samedi à partir de 21h sur la scène du marché. Un spectacle sera lui aussi proposé le samedi à 18h30 au Théâtre de Verdure. La bibliothèque Louis-Aragon propose quant à elle une exposition mettant en lumière les plus belles photos prises durant l’événement, qui est visible jusqu’au 8 septembre.

Pour clôturer les festivités, les Flâneries au Miroir habilleront Martigues aux couleurs de Venise le samedi et le dimanche. Pour l’occasion, plus de 140 participants défileront dans les rues de la ville, parés de costumes et masques aux couleurs du carnaval vénitien. Un événement qui met en évidence la ressemblance entre Venise et la ville de Martigues, que l’on surnomme « la Venise provençale ».


Plages des Laurons