vendredi 30 juillet 2021

Cocktails et coucher de soleil face à l'étang

 

Martigues :

Cocktails et coucher de soleil face à l'étang

Des sonorités reggae et des effluves d'épices et de poissons grillés s'échappent de la cabane en bois en bord de l'étang de Berre. La paillote de Zébuline et Zigoto et son immense terrasse pieds dans le sable, est le QG de l'été. "Zébuline", c'est le surnom de la propriétaire, "Zigoto" celui de son compagnon. Le couple de restaurateurs martégaux monte cette paillote au style des tropiques, tous les étés depuis maintenant cinq ans. Derrière le bar et au service en terrasse, une bande de jeunes, tous plus souriants les uns que les autres, menée par Luna, la fille de Zébuline.

L'ambiance est amicale, voire même familiale et surtout estivale. Les saisonniers sont boostés d'ondes positives sur ce bout de plage, en plein cœur de ville. Sous les parasols en feuilles de cocotier, les parents sirotent une sangria, ou une bière du domaine de Sulauze (Istres) face à un étang rosé au coucher du soleil, tandis que les enfants jouent dans l'eau. Sur les tables en tonneaux ou palettes recyclées, des groupes d'amis, de tous les âges, dégustent des acras de morue et falafels maison, des salades pleines de légumes frais, des burgers goûtus ou encore des planchas de poissons en mode sardinades. Et double bonus tous les dimanches, un super brunch de 11 h à 15 h et le soir, place aux concerts avec des groupes locaux, tels que Tropical raclette de Marseille, Sédoula et sa musique africaine ou encore El Pulpo d'Arles.

Plage de Ferrières à Martigues. La paillote est ouverte tous les jours de 11 h à minuit. Réservation conseillée au 06 67 85 50 29.


La paillote "Zébuline et Zigoto" avec son immense terrasse les pieds dans le sable est le spot de l'été à Martigues.


La paillote "Zébuline et Zigoto" avec son immense terrasse les pieds dans le sable est le spot de l'été à Martigues.

Martigues : une virée sur la Côte bleue en jet-ski

 

Martigues : une virée sur la Côte bleue en jet-ski

Le baptême de jet et la randonnée

Les sports de glisse font le plein cette saison, et l'activité phare pour Céline Sede, la gérante de WaterSports13, c'est le jet ski. Pour les locations sans permis, plusieurs choix possibles : une randonnée ou un baptême de trente minutes sous la surveillance d'un professionnel.

Élodie Sede, a débuté en 2010 avec des kayaks et des bouées tractées. En 2014 elle achète son premier jet ski qu'elle met à disposition des locataires n'ayant pas le permis bateau. Devant le petit cabanon, les groupes s'enchaînent, peu de touristes mais beaucoup de locaux en vacances ou en week-end qui connaissent déjà les lieux. Fayçal habite à Bouc-Bel-Air, il vient pour la seconde fois à WaterSports13. "J'étais venu faire de la bouée tractée et le jet-ski c'est kiffant", dit-il en riant. Il est accompagné de trois de ses amis. Ils sont venus faire le baptême de jet : trente minutes au large, surveillés par un moniteur. C'est le deal pour les locataires de jet qui ne possèdent pas le permis bateau. Grâce un accord avec les affaires maritimes, Céline Sede peut ouvrir son activité à tous, à condition qu'un moniteur encadre les groupes qui n'ont pas de permis bateau.

Il faut passer à l'habillage avec Bruno et échanger sa robe de plage contre un gilet de sauvetage. Première difficulté, franchir les rochers en sandales, se déchausser pour entrer dans l'eau froide, puis tenter de ne pas glisser sur les cailloux pleins d'algues en rejoignant son jet. Une fois installée, une explication sur le fonctionnement de la machine. L'excitation monte, mais il faut rester attentif pour suivre les explications. Attention, démarrage du jet et en avant vers le large, maximum 9 CV pour sortir du chenal. Une fois les bouées dépassées, le moniteur explique dans quelle zone il est possible de naviguer, et lui, se met à bonne distance du petit groupe. À ce moment-là, place à l'amusement ! L'appréhension du premier essai est vite dépassé et tous virent plein gaz sur l'eau, propice à la vitesse car elle n'est pas trop agitée.

Les vagues deviennent des tremplins, parfois il faut les fendre pour passer au travers. Une impression de liberté et une montée d'adrénaline, l'eau ne paraît même plus froide. Les trente minutes passent vite et il faut déjà rentrer au port, mais pour prolonger l'expérience il existe également des randonnées en jet-ski. Le long de la Côte bleue jusqu'à l'Estaque ou en visitant les calanques de l'Érevine, entre une et quatre heures de randonnée selon vos envies. L'occasion d'apprécier des paysages inaccessibles depuis la terre ferme. Petite précaution à prendre tout de même : la crème solaire ! Histoire de ne pas avoir un bronzage "gilet de sauvetage" pour le reste des vacances.

WaterSports13 Côte bleue, chemin des Tamaris, 13 500, La Couronne ouvert de 9 h 30 à 18 h sur la mise à l'eau des Tamaris. Ouvert jusqu'au 12 septembre, 7jours/7. Location de jet ski sans permis de 30 minutes à 1 h dans la zone d'évolution entre 85€ et 140€ ou pour une randonnée de 1 h à 4 h pour visiter les calanques entre 140€ et 440€. Prévoir une caution de 1 000€ pour le jet-ski. Réservation au 06-62-03-29-91.


 

 

En famille ou entre amis, des initiations ou randonnées en jet-ski sont proposées même pour les personnes sans permis bateau.

Le retour du port du masque

 

MARTIGUES COVID-19

Retour timide du masque

Sur les marchés

Le retour du port du masque,

Ce n’est pas gagné

 

Hier sur le marché, clients et forains divergeaient sur l’obligation de l’arborer



jeudi 29 juillet 2021

SARDINADES

 

MARTIGUES

Les sardinades annulées.

 La Société nautique des Laurons avait programmé ses sardinades samedi 31 juillet, après des précédentes éditions annulées.

C’était sans compter sur la reprise de la pandémie et des nouvelles règles sanitaires en vigueur qui ne permettent pas des rassemblements en toute sécurité.
 Ce n’est que partie remise, les sardines devront attendre !


Covid-19 : La 4e vague se rapproche De l’hôpital

 

Covid-19 :

La 4e vague se rapproche

De l’hôpital

Des patients arrivent tous les jours.

L’établissement n’est pas encore saturé



mercredi 28 juillet 2021

Le parc marin

 

CÔTE BLEUE

Le parc marin, un milieu

Naturel fragile à préserver

Le syndicat mixte et les autorités ont embarqué pour une visite d’étude sur site



La véritable recette De l'aïoli traditionnel

 

·   27/07/2021 À 10H26

Les Fadas du Monde

Vous livrent la véritable recette

De l'aïoli traditionnel

La tradition provençale est à l'honneur cet été à Martigues avec les Fadas du Monde.

L'évènement propose une série de rendez-vous festifs et populaires qui s'inscrit dans la veine du Festival de Martigues.

 Maritima s'est rendu dans la paisible et ombragé cour de l'île pour suivre un concours d'aïoli. La recette est simple :

 De l'huile d'olive, du sel, des œufs, de l'ail mais aussi et surtout de l’endurance pour faire monter l'aïoli dans le mortier avec l'ustensile obligatoire, le pilon en bois. 

En vidéo découvrez comment s'opère la magie de l'aïoli avec les Fadas du Monde à Martigues.

Douceur et ambiance provençale assurée !



LA RAME AU COEUR, UNE PASSION MARTÉGALE

 

C'est gratuit et ouvert à tous, bien sûr

Après la période de pandémie, l'été martégal a démarré.

Dans le cadre des Fadas du Monde (voir : https://fadasdumonde.fr/evenements/la-rame-au-coeur-une-passion-martegale/?occurrence=2021-07-23 notre film documentaire, sera diffusé  dans La Cour de l'Ile, le vendredi 23 juillet2021 à la tombée de la nuit.

La soirée commence à 21 heures avec une présentation du club et de son activité.

Un rafraichissement vous sera offert

Venez nombreux, en famille ou avec des amis.

Diffusez largement l'information.

Bel été à toutes et tous

                                                                                                       Christian DEPREZ et Marc PECCHI

LA RAME AU COEUR, UNE PASSION MARTÉGALE


Vendredi 23 juillet
21h
Cour de l’Île

Film documentaire d’une durée de 70mn.
Réalisation : Nicolas Balique
Sur une idée originale de Christian Deprez et Marc Pecchi.
Présenté par les Rameurs Vénitiens avec le soutien de la Ville de Martigues.

Né en 2009 de la volonté d’un groupe de passionné(e)s, le club des “Rameurs Vénitiens” est aujourd’hui l’un des plus titrés de France.

 A l’occasion de leur 10ème anniversaire, ses quelque 150 adhérentes et adhérents ont souhaité, par ce film, mettre en lumière la pratique de leur discipline.

Ce sport complet, normalisé selon la nage provençale héritée d’une longue tradition de pêche en Provence, pratiqué tout au long de l’année sur mer, en étang ou en lac et au fil des rivières et fleuves est actuellement en plein essor puisque la Fédération Française de Joutes et de Sports Nautiques à laquelle est affiliée la rame traditionnelle compte plus d’une trentaine de club.

Entre entraînements, rame loisir, infatigable travail des bénévoles et rudes compétitions – à commencer par la prestigieuse Coupe de France organisée à Martigues en 2019, le documentaire que vous allez découvrir retrace une année de la vie d’un club dynamique dont les rameurs évoluent, entre canaux et étang, au cœur des pittoresques décors de “La Venise Provençale”.

 

jeudi 22 juillet 2021

TROIS ACTIONS EN JUSTICE “POUR AMELIORER VOS CONDITIONS DE VIE”

 


TROIS ACTIONS EN JUSTICE “POUR AMELIORER VOS CONDITIONS DE VIE”

Publié par Hugo Duplan | Juil 12, 2021

Si le cadre est feutré dans les moelleux fauteuils rouges du théâtre de Fos, le sujet est grave. Un long combat en cours, parti le 8 novembre 2018 officiellement devant le tribunal de grande instance d’Aix-en-Provence, quand près de 200 habitants de Fos et du pourtour de l’étang, inquiets des dangers de la pollution industrielle pour leur santé, ont porté plainte contre X pour mise en danger délibérée de la vie d’autrui. Un premier acte qui fait des petits dans un temps
judiciaire qui s’annonce parfois long, pour le pénal surtout, mais qui en vaut la chandelle, paroles d’avocats : “On a des éléments qui justifient cette action”, clament-ils. Le nombre fait la force, on ne se serait pas engagé si on n’avait pas des éléments probants.”

Même si, ce soir-là, après les précédentes levées plus “cotées”, Daniel Moutet faisait la moue pour cette nouvelle réunion publique, quelque peu évaporé dans les vapeurs de l’été. “Je suis peiné de voir si peu de monde”, glissera le lanceur d’alerte d’ADPLGF, tête de proue de cette fronde contre la pollution avec Julie Andreu, l’une des avocates des plaignants, spécialisée dans les questions de santé et d’environnement. Mais il y a quand même du lourd sur la table. Des gens de Fos, de Martigues à l’image de Benoît qui dit qu’il a “une vue imprenable sur le site de Lavéra”, empilant les photos depuis des mois pour nourrir les dossiers et les arguments du cabinet TTLA de Marseille avec Sophie Bourges et Héloïse Gusti, les autres avocates en renfort.

Plusieurs années à brosser ce tableau noir, après avoir “étudié les dépassements des normes des industriels” d’après les documents transmis par la Dréal et “répondre aux problématiques de santé et d’environnement avec des actions en justice sur trois temps”, rembobine Julie Andreu. C’est la fin du silence ! On a entendu vos craintes légitimes pour mettre à mal cette tendance à polluer en toute impunité. On n’accepte plus. On ne se tait plus, on veut faire bouger pour améliorer vos conditions de vie”, harangue l’avocate. Une plainte contre X d’abord “avec 194 plaignants, sept associations et un syndicat. L’affaire est instruite par le pôle santé publique du parquet de Marseille. Le procureur a transmis à une juge d’instruction, complète Julie Andreu dans une procédure de 5 à I ans minimum et ce lourd dossier, désormais frappé
du secret de l’instruction. Mais ” une plainte qui fait son chemin sur fond d’enquêtes sur /es responsabilités” avec en ligne de mire commissions rogatoires, auditions par les services de gendarmerie qui permettront de caractériser (ou non si la juge ordonne un non-lieu) les infractions. “Les éléments sont là. C’est un premier verrou qui a sauté. L’espoir d’un gros
procès, le premier au pénal concernant une pollution due â des activités industrielles devant le tribunal correctionnel’! espère JuIie Andreu.

Une plainte pas fermée avec toujours la possibilité de se constituer partie civile. “Plus vous serez nombreux, plus on sera fort” rappelle I ’avocate, en rappelant une deuxième action en cours depuis octobre 2019. Là, ce sont 14 habitants de Fos et Martigues qui ont décidé d’assigner ArcelorMittal, Dépôts pétroliers de Fos (DPF), Esso Raffinage et Kem One devant le
juge civil pour “troubles anormaux du voisinage”. “Depuis un an, une bataille d’arguments mais une temporalité plus courte, avec I ’espoir des premières assignations fin décembre ou début janvier 2022. Avec un élément nouveau”, annonce Julie Andreu. Une course contre la montre pour déposer de nouveaux dossiers et “une prescription en janvier 2022, partie sur la référence de l’étude Fos-Epseal en janvier 2017. On a un délai de 5 ans pour agir. Après janvier, il sera trop tard au sujet d’une plainte à double détente pour demander “de respecter la norme mais aussi de réclamer des indemnités pour le préjudice”.

Enfin, cette réunion a été l’occasion d’ouvrir officiellement la 3e étape avec une action devant le tribunal administratif contre l’État cette fois, dont les futurs plaignants, via l’association ADPLGF, entendront dénoncer une “carence fautive dans son rôle de régulateur et de contrôleur”, en visant ” le préfet qui n’a pas fait assez pour enjoindre les entreprises à respecter la réglementation et protéger”. Des “sacrifiés de la pollution” plus que jamais vent debout “pour pousser les autorités à prendre /es choses en main et apporter des réponses”, dira le maire de Fos, Jean Hetsch, “pleinement derrière vous”, dans un cri du cœur contre les lenteurs des autorités face aux industriels” en rappelant cette phrase de René Raimondi, sur “des industries qui nous font vivre certes mais qui ne doivent pas nous faire mourir”, entre autres appels d’fun trafic routier qui doit être revu” implore le maire. “Le but n’est pas de fermer les urnes, juste privilégier la santé, vous avez le droit de vie même si on habite à côté d’activités industrielles, ponctue Julie Andreu Le but est de faire respecter la réglementation ; de prévenir plutôt que réparer.”

“Ce qui m’anime ce sont nos enfants, c’est ça qui me fait me battre, conclut Daniel Moutet qui appuie sur la corde sensible, rappelant que “les trois plaintes peuvent être cumulatives”, en souvenir de cet enfant de 3 ans qui a disparu d’un cancer, conclut-il. Nos actions sont pour les générations à venir”. Les révoltés de la pollution sont plus que jamais dans la bataille “Vous avez le droit de vie même si on habite à côté d’activités industrielles.” Les questionnaires pour les plaintes peuvent être téléchargés via le site de l’Association de défense et de protection du littoral du Golfe de Fos : https://www.stop-pollution.fr/questionnaires-pour-les-plaintes-concernant-les-3-procedures/

Article paru dans le journal LA PROVENCE du 12 juillet 2021

En référence à notre réunion publique du mercredi 30 juin 2021.

TROIS ACTIONS EN JUSTICE “POUR AMELIORER VOS CONDITIONS DE VIE”

Pollution de l’air à l’ozone : les Bouches-du-Rhône Toujours en alerte niveau 1

 

Pollution de l’air à l’ozone :

les Bouches-du-Rhône

Toujours en alerte niveau 1

La pollution de l'air à l'ozone persiste dans le ciel des Bouches-du-Rhône. La préfecture a prolongé ce jeudi le placement en alerte niveau 1 du département. Une procédure d'information-recommandation avait été lancée mardi suivie d'une mise en place de l'alerte niveau 1 hier. 

Plusieurs mesures sanitaires et recommandations sont donc en vigueur : 

- Dans le secteur des transports : abaissement de 20 km/h des vitesses maximales autorisées sur les voiries, sans toutefois descendre en dessous de 70 km/h ; Raccordement électrique à quai des navires de mer et des bateaux fluviaux en substitution à la production électrique de bord par les groupes embarqués dans la limite des installations disponibles.

- Dans le secteur résidentiel et tertiaire : report des travaux d’entretien ou de nettoyage effectués par la population ou les collectivités territoriales avec des outils non-électriques (tondeuse, taille-haie…) ou des produits à base de solvants organiques (white-spirit, peinture, vernis décoratifs, produits de retouche automobiles…) ; Interdiction des brûlages à l’air libre des déchets verts. Suspension de l’utilisation d’appareils de combustion de biomasse non-performants ou groupes électrogènes.

- Dans le secteur industriel : les principaux émetteurs industriels de composés organiques volatils et d’oxydes d’azote mettent en œuvre les mesures d’urgence de maîtrise de leurs émissions tels que prescrites dans leurs arrêtés préfectoraux, pris au titre du code de l’environnement relatif à la réglementation des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE).

- Dans le secteur agricole : report des épandages de fertilisants minéraux et organiques en tenant compte des contraintes déjà prévues par les programmes d’actions pris au titre de la directive 91/676/CEE du Conseil du 12 décembre 1991 concernant la protection des eaux contre la pollution par les nitrates à partir de sources agricoles.

- Pour protéger votre santé : réduisez vos activités physiques et sportives intenses (dont les compétitions) ; En cas de gêne respiratoire ou cardiaque, prenez conseil auprès de votre pharmacien ou de votre médecin ; Si vous êtes sensible ou vulnérable, privilégiez les sorties les plus brèves, celles qui sollicitent le moins d’effort et évitez de sortir durant l’après-midi. 

- Pour aider à améliorer la qualité de l’air : limitez vos déplacements privés et professionnels, ainsi que l’usage de véhicules automobiles en privilégiant le covoiturage et les transports en commun ; Privilégiez les trajets courts et les modes de déplacements non-polluants (marche, vélo…) ; Respectez l’interdiction des brûlages à l’air libre et l’encadrement de dérogations ; Maîtrisez la température dans les bâtiments (chauffage ou climatisation) ; Reportez les travaux d’entretien ou nettoyage nécessitant l’utilisation de solvants, peintures ou vernis.

 



Les gens du voyage sont de retour à Saint-Julien

 Les gens du voyage sont

de retour à

Saint-Julien


Plages des Laurons