samedi 28 novembre 2009

Le préfet demande un audit de sécurité

Naphtachimie : le préfet demande un audit de sécurité

Publié le vendredi 27 novembre 2009 à 12H29


  • Deux blessés au mois d'août chez Naphtachimie, une canalisation qui explose en septembre, des incidents chez Arkema, chez Oxochimie, sur le site de stockage de Total… et tout ça, en moins de trois mois, sur la plateforme pétrochimique de Lavéra. Rarement autant d'incidents-plus ou moins graves-auront été enregistrés sur un seul complexe en si peu de temps. Et au-delà des enquêtes internes et administratives ouvertes à chaque épisode, c'est aujourd'hui le préfet de Région qui demande des comptes aux industriels.
  • Premier visé, Naphtachimie qui devra, dans les prochains mois, réaliser un audit de ses procédures écrites de sécurité. Car si les installations techniques ne sont pas en cause, c'est, à chaque fois, l'erreur humaine qui a été mise en évidence par les services de l'Etat pour expliquer les incidents. Et, fait étonnant, ce n'est pas le manque d'expérience du personnel qui en est à l'origine. "A chaque fois, le personnel présent, co-traitant ou interne à l'usine, était qualifié", souligne Patrick Hannote, inspecteur des installations classées à la Dreale (ex-Drire).
  • Peut-on alors parler de mauvaises habitudes ou de laisser-aller ? La Dreale ne le confirme pas mais "nous avons donc demandé à l'industriel de réaliser un audit qui permettra de savoir si les procédures qu'il a mises en place sont bien comprises par son personnel," poursuit l'ingénieur. L'arrêté préfectoral qui permettra de "marquer le coup" est, actuellement, en cours de rédaction et l'industriel a d'ores et déjà lancé les appels d'offres qui permettront de choisir le candidat idoine (même si c'est la Dreale qui validera ce choix) pour tirer le bilan de ses procédures de sécurité. Naphachimie aura ensuite six mois pour le faire réaliser.
  • Mais ce n'est pas tout. Selon nos informations, un deuxième arrêté préfectoral serait à l'étude. Et cette fois-ci, il concernerait la transmission de ces procédures de sécurité à l'ensemble des acteurs du site pétrochimique. Car là encore, il n'est pas sûr que d'une entreprise à l'autre, dans un site aussi complexe que celui de Lavéra, les consignes sont suffisamment transmises ou comprises pour être totalement efficaces. "Dans ces dossiers, certains faits sont effectivement troublants", relève d'ailleurs une source administrative. Le préfet devrait ainsi commanditer un second audit qui sera chargé de le déterminer dans la foulée du précédent. L'erreur humaine est, par ailleurs, une fois encore, avancée pour expliquer la succession des incidents survenus à Lavéra.
  • Rappelons que ces derniers faits avaient ému les syndicats mais aussi les services du procureur de la République d'Aix-en-Provence.
    Stéphane ROSSI

jeudi 26 novembre 2009

Info de la part de Michel LOPEZ

Info de la part de Michel LOPEZ ,
  • Hier soir (24 nov 2009)vers 18 heures je me trouvais dans mon jardin lorsque j'ai entendu la sirène à modulation (signe de danger) en provenance du site de Lavéra.
  • Je me précipite vers mon téléphone pour avoir des informations sur cette alerte à des heures peu habituelles et compose le N°04 42 35 38 38 (n° à appeler en cas de doute sur les sirènes ).
  • J'ai un message enregistré du service incendie de Lavéra qui signale "qu'actuellement" il n'y a pas d'incident et que tout fonctionne normalement.
  • J'appelle alors le poste de garde des usines de Lavéra, une opératrice m'informe qu'effectivement il y a bien une alerte gaz : MAIS pas grave puisqu'elle est de niveau 2!!! mais que je dois rester confiné dans mon logement! de plus me dit-elle le vent est favorable pour le disperser!!!L'opératrice prend mes coordonnées et me promet de me rappeler à la fin de l'alerte mais que de toutes façons les pompiers vont être informés et téléphoneront à tous les habitants environnants!!!!!!
  • J'appelle Radio Maritima pour savoir s'ils ont des infos sur cet événement, la personne au téléphone me dit qu'elle s'informe immédiatement, note mes coordonnées.
  • J'appelle les pompiers (18), l'Etat major n'a pas plus d'info et prend mes coordonnées en me promettant toujours de me rappeler!!!
  • 45 mn après c'es Radio Maritima qui me rappelle pour me signaler que l'alerte niveau 2 est levée qu'il y a bien eu fuite de chlore SANS GRAVITE pour les personnes!!!!
  • J'en déduis :
  • 1° : que peu de gens ont dû entendre le signal, il fallait être à l'extérieur, ma femme à l'intérieur n'a pas entendu.
  • 2° : le N° conseillé en cas de doute est nul.
  • 3° : pas plus la promesse du poste de garde que des pompiers de rappeler n'a été tenue
  • 4° : on nous prend pour des c.... quant aux niveaux de danger!!!
  • Pour information

mercredi 25 novembre 2009

Incident locale Arkema Lavéra unité CVM

  • Incident locale Arkema Lavéra unité CVM
  • Ce mardi 24 novembre 2009 à 17h40 au cours du démarrage d'un réacteur sur unité CVM un disque de rupture de protection en pression s'est ouvert avec émission sonore perceptible en limite de site.
  • Les opérateurs ont procédé immédiatement à la mise en sécurité de l'installation et ont activé l'alerte locale.
  • Des controles d'atmosphére réalisés par les pompiers du site autour de l'unité se sont révélés négatifs et ont permis de lever rapidement l'alerte locale.
  • Il n'y a eu aucun bléssé.
  • Cet incident a fait lieux d'une déclaration immédiate aux autorités compétentes.

Jean-Christophe CROUZETChef de service HSEIQ

mardi 17 novembre 2009

L'investissement géant d'Ineos a agité le conseil municipal

L'investissement géant d'Ineos a agité le conseil municipal
Publié par La Provence le lundi 16 novembre 2009 à 10H24

POLÉMIQUE



  • Retiré lors de l'avant-dernière séance du conseil municipal, l'investissement massif d'Ineos (250 millions d'euros) est repassé devant les élus vendredi soir (Lire La Provence du 8 novembre). Même s'ils ont voté à la majorité un "avis favorable sous réserve de la réalisation, par l'Etat, de l'étude de risque sanitaire à l'échelle de l'ensemble des sites industriels de la commune", les débats ont été plutôt animés.
  • Si Mathias Petricoul (UMP) s'est dit "satisfait par ce changement d'attitude", Sandrine Figuié, écologiste membre de la majorité municipale, a voté "contre", notamment en raison de "l'absence d'un bilan épidémiologique sur la comune." "Même si tous les Martégaux sont attachés à la pétrochimie, le temps de l'émancipation est venu, a-t-elle poursuivi. Il est désormais nécessaire de diversifier nos composantes énergétiques, en utilisant des ressources naturelles, comme le vent ou le soleil, très présentes sur notre territoire". Autre intervention remarquée, celle de Sophie Degioani (PS), présidente de la commission environnement qui avait conclu il y a un mois à cet "avis défavorable" finalement déjugé. "Nous voterons favorablement, uniquement en raison de la crise sociale, a-t-elle indiqué. Pour le reste, l'étude sanaitaire sera terminée fin mars 2010. Je compte sur monsieur le maire pour que les résultats en soient diffusés le plus rapidement possible".
  • Gaby Charroux, tout en indiquant, au sujet du vote "contre" du conseil municipal de Port-de-Bouc, que chacun était maître de ses décisions, a terminé en rappelant que cet investissement pérenniserait le site de Lavéra. "Et le chantier devrait employer près de 4000 personnes, ce qui est bon pour l'économie locale", a-t-il conclu.
    Eric Gouber

dimanche 15 novembre 2009

Les élus ont examiné hier les orientations budgétaires de la ville pour 2010

Petricoul: "Pourquoi continuer sur le même train de vie?"

Publié dans la Provence le samedi 14 novembre 2009 à 17H00

  • Au conseil municipal, ce n'est plus le premier adjoint qui présente les orientations budgétaires, comme au temps du tandem Lombard-Frisicano, mais le maire en personne. Gaby Charroux s'est donc chargé de cet exercice hier soir, rappelant la bonne santé de la ville, et sa volonté d'investir environ 25millions d'euros l'an prochain, malgré les divers scénarios envisagés après la suppression de la taxe professionnelle (Lire La Provence d'hier). Sans surprise, Sophie Degioanni pour le parti socialiste, Toni Brest pour le parti communiste l'ont assuré de leur entier soutien. Jean Patti absent, Gaby Granier pour son groupe a estimé que la "gestion de la ville était entre de bonnes mains", alors que Mouloud Ben Ayad (gauche citoyenne) a assuré la majorité municipale de son appui pour se battre contre les réformes gouvernementales.
  • Sans y faire directement allusion, Mathias Petricoul (UMP) a fait une comparaison avec quelques villes de même importance: "Martigues dispose de 152millions d'euros, là où Vincennes n'en a que 100millions, Châteauroux 86, et Chalon en Champagne 66,5. Heureusement qu'avec une telle richesse, les finances se portent bien!"Il a aussi osé une question qui a retenu l'attention du public: "comme pour un ménage, si vos revenus diminuent, pourquoi continuer sur le même train de vie?" Une remarque qui a attiré une réponse du maire: "Je suis persuadé que pour 2010, il faut maintenir ces investissements. D'autant qu'ils contribuent à développer l'emploi. Ces dernières années, nous estimons avoir contribué à l'existence de 800 à 1000 d'entre eux. Au fil des années, nous pourrons les réajuster en fonction de nos moyens. Mais en attendant, en 2010, nous commencerons à réaliser le pôle judiciaire, la passerelle piétonne entre l'Ile et la mairie, le dojo, l'école de musique, des logements. Tant qu'on peut le faire, on continuera, et nous sommes fiers de la gestion que proposons depuis des années à la population."
    Par Éric Goubert

jeudi 12 novembre 2009

Le prix de l'eau va augmenter et le bus restera payant

Le prix de l'eau va augmenter et le bus restera payant
Publié par La Provence le jeudi 12 novembre 2009 à 11H34

  • Même si le prix de l'eau reste à Martigues, Port-de-Bouc et Saint-Mitre l'un des moins chers de la région, il va de nouveau augmenter cette année. "Entre 2 et 4% au grand maximum", indique Gaby Charroux, président de la communauté d'agglomération du pays de Martigues. Ce qui représentera, pour un appartement en HLM, une hausse de 5 à 6€ par an. Pas la mer à boire, donc, même si les élus auraient aimé s'en passer. "Le souci, c'est que la régie des eaux et assainissement a enregistré une baisse de la vente d'eau, pour environ un million de mètres cubes. La consommation des ménages est restée stable, mais celle des entreprises a fortement baissé.
  • "Souci d'économie par temps de crise? C'est possible. Mais aucune certitude n'a été dégagée. "Et comme nous voulons offrir la même qualité de service à la population, nous n'avons pas le choix. Cette hausse, modérée, pourrait d'ailleurs se reproduire durant les années à venir dans le même ordre de grandeur. Mais nous ne prévoyons pas de hausse massive: la situation financière de la régie ne l'exige pas.
  • ""D'autres solutions"
  • Autre augmentation, ou plutôt absence de baisse envisagée, les bus du soleil. Si "La vénitienne", le minibus du centre-ville, est devenue gratuite depuis plusieurs mois, la gratuité de l'ensemble du réseau a du plomb dans l'aile. "J'avais demandé une étude pour en chiffrer le coût, je n'ai jamais dit que c'était acquis", poursuit Gaby Charroux. Et l'étude est révélatrice: la gratuité, c'est 570000€ en moins dans les caisses de la régie des transports urbains. Difficile de s'en priver, d'autant que la situation financière de la régie n'est pas toute rose. "C'est un peu comme pour l'eau: en voulant améliorer le service, nous avons grignoté les réserves que nous avions constituées. La différence, c'est que pour cette régie, nous avons la possibilité de voter une subvention d'équilibre.
  • " Autre solution, l'augmentation du "versement transport", acquitté par les entreprises. "À l'heure de la suppression de la taxe professionnelle, elles pourraient peut-être payer un peu plus… Mais nous ne pouvons l'augmenter, tant que nous resterons en dessous de la barre des cent mille habitants." Dans ce domaine, "d'autres solutions", que Gaby Charroux ne veut pas dévoiler pour l'instant, pourraient être trouvées pour augmenter cette recette.
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  • Les tarifsSelon les chiffres communiqués par Gaby Charroux, le prix de l’eau proposé par la régie des eaux est le moins élevé du coin. Avec 1,77 € le mètre cube, il est loin devant la communauté du pays d’Aix (2,12€), Fos-sur-Mer (2,51€), Marignane (2,83€), Istres (2,92€), Aubagne (3,09€), Châteauneuf-les-Martigues (3,11€), Marseille (3,16€), Carry-le-Rouet (3,21€), Sausset-les-Pins (3,33€) et Arles (3,68€).
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  • Conseil Communautaire ce soirDouze questions sont à l’ordre du jour du conseil communautaire de ce soir, à 17h30. Après les débats d’orientation budgétaire des régies de l’eau et des transports, les élus examineront l’installation de panneaux solaires sur les toits des hangars de Croix-Sainte, ou sur un nouveau dépôt de bus.
    Par Éric Goubert

lundi 9 novembre 2009

Supprimer la TP nous contraindra à augmenter les impôts locaux

Publié, par La Provence, le lundi 9 novembre 2009 à 11H38
L'ENTRETIEN DU LUNDI
"Supprimer la TP nous contraindra à augmenter les impôts locaux"
  • Martigues tire sa richesse de la taxe professionnelle acquittée par les entreprises. Alors que cet impôt sera supprimé le 1er janvier par le gouvernement, c'est toute une économie qui pourrait être remise en cause. Gaby Charroux, maire et président de la communauté d'agglomération, fait le point sur ce dossier et sur la réforme des collectivités territoriales.
  • Des projets sont-ils déjà mis en attente en fonction de ces réformes?
    J'ai demandé aux services de travailler sur trois projections possibles, qui tiennent compte de ce que nous savons des projets gouvernementaux. Dans ce domaine, nous sommes dans le flou artistique… et c'est injurieux pour les artistes. On sait que la taxe professionnelle serait remplacée par deux contributions. Celles-ci représenteraient, dans le meilleur des cas, 25 à 30% de ce que nous percevons actuellement, soit 20 à 25 M€. Le reste, 80 M€, serait compensé par l'Etat. Trois scénarios sont possibles. L'un prolongerait la situation actuelle, le deuxième intègre une baisse de 5% par an de cette compensation, ce qui serait une catastrophe, l'autre n'en tiendrait pas compte, ce qui serait difficile. Face à cela, notre capacité d'investissement serait diminuée. De combien? Nous ne le savons pas encore.
  • Comment faire pour trouver de nouvelles recettes?
    Il n'y a pas 36 solutions. Nous n'avons que deux possibilités: augmenter les impôts acquittés par les ménages, ou/et augmenter le prix des services. En matière de taxe d'habitation, l'augmenter d'un point rapporterait 500000€. Pas grand-chose… Pour les prix pratiqués ici, nous ne pourrions pas continuer à proposer la cantine à 1,83€, ou à ne pas faire payer l'enlèvement des ordures ménagères. On pourrait aussi réaliser des économies… ce que nous faisons déjà. Mais rogner sur les services municipaux, c'est abaisser l'offre de services publics rendue à la population. Supprimer la taxe professionnelle, c'est donc surtout une catastrophe pour la population.
  • Et pour les entreprises?
    Mais jamais une entreprise de Lavéra n'est venue me voir pour me dire que cet impôt l'empêchait d'investir! Cet argument, comme d'autres, est malhonnête. On connaît la tactique: on affirme les choses, sans discernement, et tout le monde embraye. La suppression de la taxe professionnelle va de pair avec la réforme des collectivités territoriales. Qu'en pensez-vous? J'entends souvent parler du "mille-feuille administratif"… Mais la structure en commune, département, région, communauté d'agglomération, c'est l'architecture de notre République. La remettre en question, c'est aussi mettre en cause la démocratie locale, pour éloigner les citoyens des centres de décision.
  • Y a-t-il trop d'élus?
    C'est un argument qui revient souvent actuellement… Non, il n'y a pas trop d'élus. Dans les petites communes, ils font gagner de l'argent à l'Etat, en se dépensant presque bénévolement pour faire avancer les choses. J'entends aussi la thèse selon laquelle les élus locaux sont trop dépensiers. Mais quand, avec la communauté d'agglomération, nous investissons 35 millions d'euros par an, ce n'est pas pour nous faire plaisir, mais bien pour répondre à des besoins de la population.
  • Que comptez-vous faire pour faire entendre votre point de vue?
    Nous avons des propositions à formuler. Celles-ci seront reprises dans une lettre que nous allons adresser à la population, à partir 12novembre. Le 20 novembre aura lieu une séance exceptionnelle du conseil municipal, qui sera consacrée exclusivement à ces questions. Enfin, fin janvier, nous organiserons une consultation.
  • Sous quelle forme?
    Nous y travaillons, comme au libellé de la question. Un référendum d'initiative locale ne paraît pas envisageable, puisque celui-ci doit recevoir l'accord du Préfet. Je doute que nous l'obtenions. Mais il y a d'autres moyens, comme l'a prouvé la récente "votation" sur La Poste.
  • D'autres communes sont-elles prêtes à suivre Martigues?
    Des discussions sont en cours. Pourquoi pas? On pourrait même organiser la consultation de la population au même moment. En attendant, partout où j'irais, dans les conseils de quartier comme aux réceptions, je vais m'attacher à convaincre sans cesse la population des dangers qui pèsent sur elle, et sur la mobilisation qui doit maintenant franchir un nouveau cap.
    Par Éric Goubert
LETTRE REMISE A M CAMBESEDES A L'ISSUE DE LA REUNION
du 21 octobre 2009
Martigues le 20/09/2009


A l’attention de Mr Henri Cambessedes Président du conseil de quartier des Laurons.

Objet :
Réunion du 21, préparation du conseil de quartier du 18 novembre.


PLAGES, PORT,
Esplanade/plage coté port.
Le danger de la présence de baigneurs au milieu de bateaux n'est toujours pas pris en considération malgré les interventions répétées de la Société Nautique des Laurons.
Cette plage est toujours marquée "Baignade interdite".
Cette plage, qui n'est pas reconnue comme telle pourrait recevoir quelques plantations, ce souhait a été émis de nombreuses fois.
Plage de la galère : Cette petite plage, en bordure du GR 51 pourrait recevoir un petit aménagement pour sécuriser son accès (quelques escaliers, façon sentier de grande randonnée).
C'est la plage favorite des habitants du quartier.
Plage des Laurons : C'est autour de cette plage que se concentrent les problèmes liés au stationnement. La police passe souvent mais s'arrête peu, il est courant de constater des stationnements illicites dés le matin alors que le parking est totalement libre.
L’aire de jeu en été devient une zone quasiment privée ainsi que la zone ombragée !... (remarques de personnes fréquentant le site)
Port : La disparition des bateaux dès le 1er novembre rend infiniment triste le paysage. Nombreux riverains verraient d’un bon œil la présence hivernale des embarcations, cela donne un peu d’âme et de gaieté au quartier. (Cette demande ne vient pas essentiellement des possesseurs de bateaux)

Voirie - colline:
Le nettoyage n'a pas été très satisfaisant, sans doute le nombre d'incivilités et de plus en plus grand, la police passe assez souvent et pourrait intervenir pour rappeler à l'ordre ceux qui déposent n'importe quoi n'importe ou. A Martigues et surtout dans ce quartier les déchetteries ne sont pas loin. On ne devrait plus trouver d'encombrants et de végétaux (sauf ceux signalés pendant la période de collecte).
Il serait bon de faire un rappel de la règle en matière d’enlèvement de déchets verts.

Plusieurs fois cette année des trous restent longtemps sur la chaussée et c'est d'autant plus énervant lorsqu'ils restent à la suite de travaux neufs de chaussées.
Il faudrait qu'une personne de la mairie affectée au quartier fasse les retours nécessaires aux services concernés pour les anomalies en général. Le N° vert ne semble pas toujours prendre en compte.


Feux de forêt :
Heureusement, pas de feux cet été grâce à la vigilance des pompiers et des comités feux, mais des barbecues ont encore été observés .La police et les pompiers hésitent encore à intervenir, surtout si le feu est loin du massif forestier. Un feu mal éteint sur la plage peut dans la nuit allumer un brasier. Les feux même sur la plage sont interdits.
La signalétique concernant l’interdiction de faire du feu et des barbecues doit être renforcée.

RD9:
Nous souhaiterions avoir un plan simplifié qui nous explique comment on ira à Martigues ou à Saint Pierre et comment on viendra aux Laurons lorsque l’on sera sur la RD9



Déchetterie :
Les camions, (les gros véhicules) qui sortent de la déchetterie ne marquent pas souvent le stop pour se lancer dans la montée. Que peut on faire ? Quel sera le raccordement avec la RD9 ?
*Même chose pour les véhicules légers qui sortent du chemin de la Plaine ST Martin…

L’augmentation de la population du quartier et le chantier EDF entraînent beaucoup de circulation. La vitesse est toujours un problème. Mais certaines zones sont très dangereuses pour les piétons. (Passages étroits route de Ponteau et corniche des Laurons)

Le parking de la Centrale a été transformé en terrain de camping camion cet été. Les conditions de travail des chauffeurs ne semblent pas respectées (hygiène, repos) et de plus c’est en contradiction avec l’interdiction de stationner pour les campings cars.

Eaux usées : Depuis la modification (retour des eaux usées vers Martigues) les odeurs sont fortes et fréquentes, 3 zones régulièrement affectées.
La station de relevage derrière la plage, celle avant de reprendre vers Bonnieu et enfin dans le virage avant l’entrée de la centrale en allant vers Martigues.
La CAPM intervient très fréquemment, y compris sur Bonnieu. Quel est le problème ?

ADSL: Pourquoi avoir attendu si longtemps pour faire une demande de subvention?
Pourquoi c'est la CAPM qui fait cette demande ?
Qui sont les autres partenaires?
La fibre optique, jusqu’où? Comment serons nous raccordé ?
Quel délai ?

PPRT : Le PPRT concernant la zone de LAVERA va être étudié.
Cela suscite quelques questions.
- De quelle manière la population sera-t-elle associée à son élaboration.
- Quelles peuvent être les conséquences sur les riverains.

En espérant que ces remarques faciliteront la préparation des réponses à une partie des questions que pourraient poser les habitants du quartier adhérents ou non au CIQ.

Bien sur la question concernant le restaurant « Les Pieds dans l’Eau » sera posée puisqu’il s’agit du siège de l’association.

ASSEMBLEE GENERALE
Du C.I.Q
Le Dimanche 15 Novembre 2009
A 16 heures
Au Pieds dans l’eau











dimanche 8 novembre 2009

ASSEMBLEE GENERALE DU C.I.Q

Vous qui aimez votre quartier
plus que tout
  • Au point de forcer la vitesse tous les soirs en rentrant du boulot sur la Petite route des Laurons dans l’excitation du retour.
  • Vous qui détestez qu’on le pollue en crachant sur lui des fumées grasses.
  • Vous que pas même les odeurs les plus répugnantes n’ont jamais fait Envisager de le quitter.
  • Vous qui désirez l’améliorer, mais sans rien changer, pour qu’il garde Son charme, qu’il reste comme lorsque vous vous êtes installés.
  • Bref, vous qui entendez le bruit des vagues et qui voyez bouger les mats des bateaux, qui profitez du vent et des tempêtes plus que tous les autres Martégaux, qui êtes à deux pas de toutes espèces de salades sauvages, et savez les apprécier.
PRENEZ SOIN des LAURONS
Occupez-vous de ce quartier,
venez le protéger, le défendre, discuter de
Son devenir avec le
Comité d’Intérêt de Quartier !
  • Vous aurez la primeur des dernières péripéties de la laborieuse Installation de l’ADSL.
  • Vous apprendrez peut-être à quelle sauce vous risquez d’être mangés, Avec le PPRT, qui se trame en coulisse.
  • Vous serez informés aussi sur les bilans financier et moral de l’association.
  • Vous serez informés des futures Animations.
  • Vous aurez aussi la possibilité de vous inscrire au bureau.
ASSEMBLEE GENERALE
Dimanche 15/11/09 à 16h00 au
Restaurant « Les Pieds dans l’Eau »

mercredi 4 novembre 2009

Incident mineur sur le site de Lavéra !

Incident mineur sur le site de Lavéra !
  • Usine ARKEMA Lavéra
  • Mercredi 3 novembre à 22h00, une légère fuite s'est déclarée sur une bride d'un réacteur produisant du chlorure de méthyle.
  • Cet incident a aussitôt été détecté par les opérateurs de l'unité qui ont procédé à la mise en sécurité du réacteur. La décompression du réacteur s'est accompagnée d'un phénomène sonore sous forme d'un sifflement perceptible à l'extérieur du site.
  • Cet incident n'a eu aucune conséquence notable sur l'environnement.
  • Des investigations sont en cours pour déterminer la cause de cet incident.
  • Les autorités administratives compétentes ont été informées de cet incident.
  • Contact presse : JC Crouzet - Responsable HSEIQ

Plages des Laurons