jeudi 27 février 2020

Des gendarmes pour les sites SEVESO



« Il faut créer un gendarme des sites Seveso Pour restaurer la confiance »


Interview  |  Risques  |  24 février 2020  |  Laurent Radisson

La mission d'information de l'Assemblée nationale sur l'incendie Lubrizol a publié son rapport. Son président, Christophe Bouillon Député de la Seine-Maritime, Président de la mission d’information sur l'incendie d’un site industriel à Rouen présente ses principales conclusions et défend la création d'une Autorité de sûreté des sites Seveso.
      
Actu-Environnement : Quelle est la préconisation principale qui ressort de la mission ?
Christophe Bouillon : Je partage avec le rapporteur les conclusions sur la culture du risque, la nécessité d'exercice et de pédagogie. En revanche, on a une vraie différence sur les questions de prévention et de sanction. Je souhaite la création d'une Autorité de sûreté des sites Seveso qui regroupe l'ensemble des inspecteurs affectés à ces installations dans une entité indépendante, qui leur donnera plus d'indépendance et de capacité à obtenir gain de cause. Dans le système actuel, les préfets sont en quelque sorte juges et parties. Ils ont la double mission d'assurer le développement économique et la protection des populations.
AE : Quelles seraient les caractéristiques de cette nouvelle autorité indépendante ?
Ch. B. : Il s'agit de créer un véritable gendarme des sites Seveso qui permet de mettre la pression sur les exploitants à travers la publication de ses avis et recommandations. Il est inspiré du modèle de l'Autorité de sûreté des sites nucléaires (ASN) qui fonctionne bien, dont les avis sont écoutés et dont même les ONG anti-nucléaire reconnaissent qu'elle fait un travail utile. C'est un système de contrôle/auto-contrôle qui amène une culture de la sécurité. Aujourd'hui, le système est entaché de doute comme l'a montré l'accident de Lubrizol. La création d'une autorité indépendante est appelée de ses vœux par le Syndicat national des ingénieurs de l'industrie et des mines (Sniim), qui représente les inspecteurs. Les 1362 sites Seveso, seuil bas et seuil haut confondus, présentent les risques les plus importants. Deux millions et demi de Français vivent à proximité. On leur doit une garantie de contrôle, exempte de pressions. C'est la condition pour conserver la coexistence entre l'industrie et les zones résidentielles.
AE : Vous avez déposé une proposition de loi visant à créer cette autorité. Est-elle inscrite à l'ordre du jour de l'Assemblée ?
Ch. B. : Je l'ai déposée avec mon collègue communiste Hubert Wulfranc mais une proposition à deux députés a peu de chances d'être discutée. Je vais déposer un autre texte de loi avec mon groupe reprenant la plupart des propositions que j'ai pu formuler sur la sécurité, les sanctions et la prévention, en espérant qu'elle puisse être discutée lors d'une niche parlementaire.
AE : Vous réclamez plus de transparence. N'existe-t-il pas des obstacles comme la question du risque terroriste mise en avant par le Gouvernement ?
Ch. B. : Élisabeth Borne a laissé la porte ouverte pour davantage de transparence sur le stockage notamment. Il faut éviter l'écueil du secret commercial et celui de la sûreté des sites. Mais on doit savoir en temps réel et en permanence la nature des produits qui sont stockés dans les installations. Je souhaite également modifier la composition des conseils départementaux de l'environnement et des risques sanitaires technologiques (Coderst). La réouverture partielle du site de Lubrizol montre que le match était joué d'avance, vu la très faible présence des collectivités, des associations de protection de l'environnement et des consommateurs dans cette instance.
AE : Tirez-vous d'autres leçons de cet accident industriel hors norme ?
Ch. B. : Si on veut que la peur change de camp, il faut des sanctions plus dissuasives. La peine d'amende de 4 000 euros infligée à Lubrizol lors du premier accident en 2013 illustre les insuffisances en la matière. Face à un risque zéro qui n'existe pas, la tolérance doit être nulle pour les négligences. Les inspecteurs regroupés dans la nouvelle autorité doivent avoir les moyens d'aller jusqu'au bout du processus de sanction.
AE : Les annonces faites par la ministre de la Transition écologique le 11 février vont-elles dans le bon sens ?
Ch. B. : Il y a des propositions intéressantes concernant la détection incendie, la prise en compte des sites voisins dans les études de dangers ou la création d'un bureau d'enquête accidents. Je suis plutôt favorable à cette dernière proposition même si elle ne porte pas sur la prévention. Elle n'est pas contradictoire avec la création d'une autorité de sûreté indépendante. Élisabeth Borne annonce aussi une hausse de 50 % des contrôles d'ici 2022. C'est a priori une bonne annonce mais c'est en fait un leurre car cet objectif ne peut être tenu avec une stabilisation des postes. Les inspecteurs, débordés, ne peuvent pas faire plus. On sait déjà qu'ils sont obligés de faire des choix aujourd'hui. La ministre veut leur retirer certaines tâches administratives mais ses propositions conduisent aussi à plus de documents à rédiger par l'Administration.
AE : Combien de postes faudrait-il créer ? Des moyens spécifiques doivent-ils être alloués à l'Autorité de sûreté ?
Ch. B. : Création d'une nouvelle autorité ou non, il faut une centaine d'inspecteurs en plus. Mais la préfiguration de l'Autorité de sûreté des sites Seveso consiste à regrouper des inspecteurs, en poste dans les Dréal, dans une même entité. Ce n'est pas une dépense supplémentaire. Le budget de l'État peut y suffire. En revanche, une autorité indépendante est préservée du plafond emploi que connaissent tous les ministères.
AE : Les parties prenantes sont-elles prêtes aux évolutions que vous proposez ?
Ch. B. : Beaucoup d'acteurs sont prêts. Une fédération professionnelle comme France Chimie, que nous avons auditionnée, craint surtout une surcouche réglementaire qui pénaliserait l'industrie, notamment vis-à-vis de l'Allemagne. Elle craint aussi que l'autorisation des sites Seveso remonte au niveau ministériel à l'exemple du nucléaire. En fait, nous ne proposons pas une surcouche mais une organisation différente, ce qui n'est pas le cas d'Élisabeth Borne qui annonce une nouvelle réglementation. Les autorisations des sites seront toujours délivrées par le préfet mais ce n'est plus lui qui exercera les contrôles. Si on veut restaurer la confiance, il faut que l'on puisse dire qu'il y a un après-Lubrizol, comme il y a eu un après-AZF, toutes choses égales par ailleurs.


Étang de Berre suite




mobilisation pour la Poste



vendredi 21 février 2020

La poste Lavéra suite


Mobilisation pour la sauvegarde
de la poste de lavera


     Après les deux rassemblements devant le bureau de poste de LAVERA qui ont réuni plus de 300 personnes et le dépôt d'une pétition regroupant près de 1000 signatures, ce bureau restera fermé durant une partie des vacances scolaires.
     Nous n'accepterons jamais cette situation qui relègue les habitants de ce quartier en citoyens de seconde zone.
     De plus aucun bureau annexe comme celui de LA COURONNE CARRO ou CROIX SAINTE n'est à l 'abri de cette casse organisée du service public postal.

LE COMITÉ DE VIGILANCE POSTALE VOUS DONNE RENDEZ VOUS

LE MERCREDI 26 FÉVRIER A 11.H.30

DEVANT LE BUREAU DE POSTE
DE JONQUIERES

La poste Lavéra




À L'avéra, La Poste, c’est morne plaine !

Hier matin, le même manège, la même surprise, les mêmes mines déconfites de riverains devant les portes closes. Déjà en mode mi-temps de    8 h 30 à midi du lundi au vendredi.
La Poste de Lavéra a chamboulé les horaires sur cette quinzaine de vacances. Une feuille A 4 sur la porte annonce "une modification des jours d’ouverture". Deux matins par semaine (lundi et vendredi) jusqu’au 29 février, renvoyant vers La Poste de Jonquières.
Un air de RTT à Lavéra qui ne va pas calmer la colère du comité de vigilance postale, qui dénonce depuis plusieurs semaines déjà, avec une pétition de près 1 500 signatures qui tourne, le risque de fermeture de l’annexe de Lavéra (La Provence du 10 février). Si la direction de la Poste assure "que rien ne se fera sans concertation", ne cachant pas "une réflexion en cours sur l’évolution de la présence postale à Lavéra la mieux adaptée", les horaires élastiques et très variables ressemblent quand même à un chant du cygne… /
                                                                   TEXTE ET PHOTO P.S.

jeudi 20 février 2020

La mer est généreuse




     Stef le pêcheur à la palangre d'Antibes, pour la remontée de la ligne.

     Vous allez voir que la mer est généreuse pour qui en connaît les secrets.


      Reportage est de Francis Gravina
Musique utilisée dans cette vidéo
Titre : Suite : Valse d'Émile et tristesse d'Émile - le bareau d'Émile (1961)
Artiste : Jean Prodromidès
Album : La comédie selon Jean Prodromidès

mardi 18 février 2020

Les entreprises dévoilent Leurs savoir-faire




Cinq ans. Déjà cinq ans que les Indus’3days ont été créés et organisés pour la toute première fois par l’office de tourisme de Gardanne. Au départ développé exclusivement dans la commune de Gardanne, c’est aujourd’hui dans tout le Pays d’Aix et même aux portes de certaines communes de la Métropole (telles qu’Aubagne, Martigues ou encore Salon- de-Provence) que l’événement est déployé.
Plus qu’un événement, c’est aujourd’hui un véritable rendez- vous qui est donné au public pour venir découvrir les savoir- faire de notre territoire et rencontrer des professionnels passionnés par leur métier.
Une porte ouverte sur des techniques, des procédés et des technologies propres aux entreprises de secteurs aussi variés que passionnants.
Dans les coulisses de la centrale EDF de Ponteau
En effet à l’occasion de cette cinquième édition ce ne sont pas moins de 65 entreprises qui accueillent les visiteurs dans leurs locaux pour une visite inédite, ainsi que pour vivre de véritables moments d’échanges et de partage. De l’aéronautique, en passant par la cosmétique, la culture et le sport, l’économie maritime, l’environnement, la gastronomie et le terroir, l’histoire et le patrimoine, l’industrie, les médias, les métiers d’art ainsi que la recherche et le développement,
il y en a pour tous les goûts, tous les âges, et tous les publics.
A Martigues, la centrale EDF de Ponteau a ouvert le bal hier et fera une session samedi à 9h30.
 Fos sera à l’honneur aujourd’hui avec une visite du Grand Port maritime (bassins ouest).
À Salon, les visiteurs pourront découvrir le savoir-faire et les techniques de la savonnerie Rampal Latour. Deux visites sont prévues jeudi : la première aura pour objet l’usine moderne (rendez-vous à 11h au 201 impasse Gaspard Monge), la seconde l’usine historique (rendez-vous à 15h au 71 rue Félix Pyat). Le passé industriel de Salon sera également dévoilé aux curieux vendredi (rendez- vous à 9h30 à l’office de tourisme, 249 place Jules Morgan).
Enfin, Château Virant ouvrira le même jour ses portes au public (rendez-vous à 10h à l’adresse suivante : CD 10, 13680 Lançon-Provence).
 A noter qu’une exposition sur l’école de l’air intitulée "Une histoire d’aviateurs" est aussi présentée au bar à chocolat "Une histoire de famille" (44
rue de l’horloge).
Inscriptions : www.indus3days.fr 980486

dimanche 16 février 2020

La Caravelle, mistral gagnant


La Caravelle, mistral gagnant
Pour la série Plus belle la vie
La série marseillaise a posé ses caméras 
dans le typique restaurant de Lavéra 
dans la calanque de Ponteau. 
Pépite pour les tournages. 
Ambiance autour de la patronne des lieux, Dora


Ici, c’est un choc de cultures, un contraste et un décor magistral.

Une calanque de Ponteau Port coincée entre la mer et le complexe pétrochimique de Lavéra. «Après les champs de pétrole", sourit un des acteurs, dont on taira le nom à la demande de la production pour préserver l’intrigue de la série, après les flammes des torchères qui brûlent dans le ciel, l’embellie.
Des odeurs d’industrie puis de mer. Un endroit au milieu de nulle part. Un virage à 180 degrés. Apaisant. Le clapotis des vagues contre cette terrasse à ciel ouvert dans les oreilles et les tankers qui roulent les mécaniques à l’horizon, dans la rade.
Bienvenue au typique restaurant la Caravelle, Un petit coin de paradis perdu. Une terre de tournages de quelques séquences de la série marseillaise Plus belle la vie, le temps d’une journée. Qui en appellera d’autres en mars. Clap première pour une série qui tient en haleine le téléspectateur depuis… 2004 ! On est là autour du 4020e épisode dans un lieu atypique de Lavéra, au milieu des cabanons. Un charme fou, un lieu prisé, décor à bobines.
Robert Guédiguian y a déjà tourné. Anne Alix y a posé ses caméras aussi, elle qui avait emmené Dora Manticello, emblématique restauratrice de La Caravelle jusque sur les marches du Palais du festival à Cannes en 2018.
Derrière le comptoir de ce petit restaurant resté ouvert pendant le tournage en extérieur, Dora a la banane. "Ça met du peps" sourit la patronne qui se met en quatre, entre deux selfies avec les acteurs et deux confidences avec l’équipe de tournage après le service.
Derrière le zinc, une gouaille inimitable. Dans l’assiette, une cuisine maison. Une parenthèse guinguette pour "PBLV" à la sortie du déjeuner. Sur la terrasse, en bord de mer, à l’abri des regards, le futur de plus belle la vie se dessine. "Silence on tourne !" Des mines patibulaires, on devine vite une scène digne d’une série noire. Un air de clan mafieux. Le ton est grave à la sortie d’une garde à vue. "Le premier qui bouge, tu l’éclates ! Il faut que le message soit clair. On se remet à la vente". Les prises s’enchaînent autour de la réalisatrice Véronique Laveissière et Éric Hénin, en soutien, qui décortiquent les moindres expressions avant de lancer : "C’est coupé, merci !" Entre deux scènes, confessions dans un décor naturel, loin des reconstructions de studio : "Il y a tout qui passe dans un tel décor. On dit souvent que les décors et l’accessoire donnent le plan. On est servi. On est dans l’authenticité".
Un hommage à Martigues, terre de tournages. Un lieu repéré bien en amont. "On cherchait un endroit isolé, inaccessible ; qui sort de l’ordinaire. Un décor atypique propice à un contexte un peu mafieux ; pour prévoir un coup", glisse le régisseur Victor Lou Brisson. Tous vous le diront dans cette "équipe C", avec la mission de 6 tournages par mois hors des studios de la Belle-de-Mai à Marseille, l’endroit fascine pour un nouveau "prime" qui sera diffusé d’ici un mois et demi sur France 3.
Avec, en coulisses, on y revient, l’éternelle bonhomie de Dora. Pas dans le champ de la caméra cette fois, mais incontournable pour marquer le passage de ses hôtes. Demandez à la réalisatrice repartie avec une bouture de cette plante que Dora bichonne entre deux popotes. Les racines d’un lieu magique.
Pascal STELLA




Après Cannes, objectif César pour Dora !

Derrière le zinc, c’est un film à elle toute seule. Dora Manticello est un personnage. À la vraie vie et sur grand écran aussi.
L’histoire de Dora avec le cinéma avait commencé en 1994 avec A la vie, à la mort, le film que Robert Guédiguian avait tourné dans "sa" calanque et à La Caravelle déjà. Son pittoresque restaurant, c’est 17 tournages et pour Dora un (autre) souvenir indélébile. A l’affiche avec "Il se passe quelque chose", le premier long-métrage d’Anne Alix épousant la véritable histoire de Dora, elle a vécu une parenthèse enchantée jusqu’au festival de Cannes en 2018, en ouverture de l’Acid, consacrée aux films indépendants. Et ce n’est pas fini ! "Elle fera les César, moi je remplirai le Stade de France", rêve Angelo, fils de Dora, âme d’artiste et chanteur lyrique dans la vie, qui avait été lui aussi de l’aventure sur la croisette, à l’affiche avec la bande originale "la réparation" du film d’Anne Alix. Une histoire de famille et un nouveau projet dans la boîte avec un court-métrage de Romain Silvin cette fois. Un peu son Jésus à elle, dans un clin d’œil aux longs cheveux de la tignasse châtain du réalisateur. "J’ai un beau rôle", pétille Dora dans ce film, "La Gangue" un road trip dans le golfe de Fos, entre documentaire et fiction, tradition et industrie, à la rencontre des dockers et de pêcheurs…. Un coup de foudre pour Dora qui joue son propre rôle et un rêve qui devient réalité "Quand Romain m’a raconté le scénario, j’ai été frappée, c’était un rêve d’il y a 10 ans. Ça va marcher…" Comme une intuition ou un flash pour une tranche de vie et un bout de son histoire, "au restaurant les Pitres", révèle- t-elle. Mais chut, la sortie est prévue fin mars. P.S.





vendredi 14 février 2020

ST VALENTIN

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     La Saint Valentin est une fête très ancienne, dont la plupart des traditions se sont perdues mais dont il subsiste encore aujourd'hui quelques rituels, comme l'envoi de cartes ou le don de fleurs et de chocolats. Considérée comme la fête des couples déjà formés autant que la fête de ceux qui recherchent l'âme sœur, la Saint Valentin est également la fête de l'amitié dans certains pays comme les États-Unis. 

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Origines chrétiennes

Un saint nommé Valentin...

     La vie du saint que l'on célèbre le 14 février est assez mystérieuse. Valentin serait un prêtre chrétien, mort vers 270. On dit qu’il fut condamné à mort par l'empereur Claude II pour avoir consacré des mariages chrétiens dans la clandestinité. L’empereur avait interdit ces mariages en constatant que les Chrétiens, une fois mariés, refusaient de s’engager dans les légions militaires pour ne pas quitter leur famille. Saint Valentin serait donc mort en défenseur de l'amour et du mariage.

14 février Saint Valentin

La fête des amoureux

Depuis 1496, Saint Valentin est officiellement le Saint Patron des Amoureux, sur ordre du pape Alexandre VI. A cette époque, la protection de ce Saint Patron s'appliquait surtout aux célibataires qui cherchaient l'âme sœur. Les festivités de la St Valentin visaient précisément à donner aux jeunes célibataires l'occasion de trouver un partenaire pour la vie. Différentes coutumes existaient selon les régions, comme par exemple la partie de cachecache où les jeunes filles célibataires d'un village se cachaient tandis que les hommes célibataires se donnaient pour objectif de les retrouver. Les couples ainsi formés pouvaient durer le temps de la soirée ou aller jusqu'au mariage !
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Selon la croyance populaire, l'observation de la nature désigne la date du 14 février comme le jour idéal pour roucouler. En effet, la saison des amours chez les oiseaux débuterait à cette date ! On peut alors à nouveau entendre le chant des mésanges, des merles, des rouges-gorges et des pinsons que jusque-là le froid hivernal faisait taire.

Ce serait donc en prenant exemple sur les oiseaux que l'amour est d'actualité à la St Valentin : à la mi-février nous commençons déjà à attendre le début du printemps et à faire des projets pour la belle saison. Cette hausse de moral encourage les idylles, naturellement...


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mercredi 12 février 2020

Jardin partagé

Début de saison du jardin partagé de
L’équipe du C.I.Q des Laurons

Les trois mousquetaires






sauveteurs en mer de Carro



Martigues : sortie périlleuse pour les sauveteurs en mer de Carro
     Les Sauveteurs en Mer de la Station SNSM de Carro ont procédé cette nuit de 21 h à 04 h 30 à un sauvetage hors norme selon Jean-Claude Di Fusco, le patron du CTT073. Un sauvetage très difficile d'un catamaran de 22 m de long et 12 m de large avec une grosse voie d’eau sur le flotteur bâbord, dans des creux de 3/4 m. Les 3 personnes sauvées étaient prêtes à abandonner le bateau. La SNSM est arrivée à temps, les trois plaisanciers sont sains et saufs, le bateau a, lui aussi, pu être sauvé. 
     Il est important de rappeler que les sauveteurs en mer de la SNSM interviennent à titre bénévole sur les missions de sauvetage. Le fonctionnement des stations de secours (Carro et Martigues) dépend de dons. 
(photo©SNSM)

Impôts sur le revenu



Impôts

Impôt sur le revenu : les dates à retenir pour votre
Déclaration 2020


Des dates à noter sur votre calendrier. L'administration fiscale vient de lever le voile sur son planning pour l'année 2020.

  • Coup d'envoi de la déclaration : 8 avril pour tous
Quel que soit le mode de déclaration, tous les contribuables sont logés à la même enseigne : la période de déclaration des revenus ouvrira le 8 avril 2020. Mais, cette année, la déclaration automatique entre en scène. Vous recevrez au mois d'avril une déclaration de revenus pré remplie : si cette dernière ne nécessite aucune correction ni ajout d'information, un crédit d'impôt par exemple, vous n'aurez rien à faire. Dans le cas contraire, vous devrez remplir et envoyer une déclaration de revenus.
  • Déclaration papier : jusqu'au 14 mai


  • Déclaration en ligne : mai ou juin selon le département
Tous les autres contribuables bénéficieront d'un sursis pour effectuer leur déclaration de revenus. Attention, comme les autres années, cela dépendra de votre département :
 La date limite est fixée au 19 mai 2020 pour les départements 1 (Ain) à 19 (Corrèze),
 La date limite est fixée au 26 mai 2020 pour les départements 20 (Corse) à 49 (Maine-et-Loire),
 La date limite est fixée au 2 juin 2020 pour les départements 50 (Manche) à 976 (Mayotte).
  • Réception de l'avis d’impôt : fin juillet
Toujours à la fin du mois de juillet, si vous bénéficiez de crédits et/ou de réductions d'impôts pour votre impôt 2019, le solde vous sera versé à ce moment-là – en sachant qu'un acompte de 60% a déjà été payé à la mi-janvier. Emploi à domicile, frais de garde des jeunes enfants, investissements locatifs "Duflot" et "Pinel", dons aux œuvres et partis politiques sont notamment concernés.
  • Application du taux de prélèvement: 1er septembre
Dès le 1er septembre, et jusqu'au 31 août 2021, l'administration fiscale vous appliquera un nouveau taux de prélèvement à la source calculé sur vos revenus de l'année 2019.
  • Corriger sa déclaration : jusqu'à la mi-décembre

mardi 11 février 2020

LINKY Suite...

Stéphane Lhomme
Conseiller municipal de Saint-Macaire (33)
Animateur du site web http://refus.linky.gazpar.free.fr
Communiqué du mardi 11 février 2020

Détournement des données du programme Linky par EDF et Engie : la CNIL démontre sa totale impuissance
La seule façon d'échapper au vol des données des Linky est… de conserver les compteurs ordinaires !




     Ainsi que nous le dénoncions il y a quasiment un an à propose de l'affaire Directe énergie (http://refus.linky.gazpar.free.fr/linky-cnil-directe-energie.htm), le scandale actuel impliquant EDF et Engie (https://www.connaissancedesenergies.org/afp/donnees-collectees-par-les-compteurs-linky-engie-et-edf-mis-en-demeure-par-la-cnil-200211) ne fait que confirmer deux évidences :
- les données du programme Linky sont inévitablement destinées à être collectées frauduleusement, récupérées, détournées, revendues, et ce bien évidemment illégalement et sans l'aval des usagers ;
- la C N I L, prétendu "gendarme des données", ne peut qu'intervenir après coup, sermonner vainement les opérateurs…. Et attendre la prochaine affaire pour démontrer une nouvelle fois sa totale impuissance.

     Nous affirmons depuis le lancement du programme Linky que celui n'a aucunement pour but réel de permettre aux usager "d'avoir des factures précises", de "faire des économies" ou autres niaiseries, mais avant tout de collecter d'innombrables données sur la vie privée des usagers dans la cadre de la "guerre mondiale" du Big data.

     Ces données valent de l'or pour les opérateurs qui peuvent les utiliser directement ou bien les vendre très cher à des sociétés commerciales qui veulent tout savoir sur l'usager pour en faire un client en le démarchant de façon parfaitement ciblée.

     D'autre part, la captation d'innombrables données par les compteurs communicants fait peser un grave danger sur les libertés publiques : la société du tout numérique, qui nous est imposée à marche forcée, va rapidement aboutir à la dictature totale, si implacable qu'elle fera sous peu passer les régimes totalitaires passés et actuels pour d'aimables artisans.

     Le numérique sonne la fin des libertés publiques et du droit à l'oubli, chaque citoyen pourra bientôt se voir reprocher tous les actes du présent ou du passé (même lointain). Et, contrairement à ce que prétendent les naïf sur le thème "ceux qui n'ont rien à se reprocher n'ont rien à craindre", ces actes pourront a postériori être déclarés illégaux ou déviants, même s'ils étaient au départ légaux ou anodins.

     Tant qu'il en est encore temps, j'appelle tous les citoyens à refuser les compteurs communicants, la mise en place de la 5 G, mais aussi les "assistants vocaux" qui sont eux-mêmes des "aspirateurs à données" permettant aux sociétés commerciales et policières de tout savoir sur la vie des habitants. Il n'est d'ailleurs pas surprenant qu'Enedis muni de son compteur Linky passe d'ores et déjà des accords avec Amazon et son boitier espion Alexa (https://www.connaissancedesenergies.org/afp/donnees-collectees-par-les-compteurs-linky-engie-et-edf-mis-en-demeure-par-la-cnil-200211)…

réunion du bureau du C.I.Q




                       Compte rendu réunion du : 06 février  2020


Une vingtaine de personnes présentes  : 

L’ordre du jour est le suivant :
Bilan moral et financier de la fête des coquillages.
Projets date à venir pour les animations C.I.Q.

     La fête : Financièrement le résultat est catastrophique.  Heureusement qu'une partie des adhérents des 2 associations ont pu répondre présent. L’ambiance a été chaleureuse et la solidarité devant les éléments déchaînés a été au rendez vous. Une vente « sauvage » au bord de la route a limité les dégâts. 
La 1ere Fête des Coquillages (Oursinades) a eu lieu le 21 janvier 1999.
C’est la première fois que nous subissons un tel revers !

Tout naturellement nous sommes amenés à évoquer des solutions pour faire face à une météo violente.
 1er – Il est indispensable de revoir le sol de la carrière. Le creux doit être supprimé pour un écoulement facile de l’eau.
2 ème – Il est tout à fait possible d’imaginer une couverture haute type boulodrome pour cette zone d’activités. Cette couverture haute permettrait un accueil des festivités annuelles existantes.
- Fête des COQUILLAGES.
- Carnaval sur la plage pour les écoles de Saint Julien et Saint Pierre.
- Fête des Plantes.
 - Fête des Voisins.
- Cinéma en plein air.
- Sardinades.
- Fête des associations.
 Les activités de plein air (Boules, ballons sont préservées).
Tout le monde sera ainsi protégé de la pluie et du soleil, le site de la carrière nous protégeant du vent.

EconomiesChaque fois qu’une animation associative est prévue il est demandé aux services municipaux une couverture constituée de kiosques bâchés ; solution qui engendre des frais de livraison, de montage et démontage des structures. (Une partie est réalisée le dimanche). Plus le stockage et la maintenance de ces matériels. C’est une importante mesure d’économie. La prestation des ateliers ne concernerait plus que la livraison de tables et de chaises. Des projets sont déjà proposés avec des variantes pour l’installation sur le toit de panneaux photos voltaïques. Un accord pourrait même être trouvé avec nos voisins de EDF Martigues !
Remarques : Une démarche commune sera entreprise après la réunion S.N.L. qui propose aussi de modifier la date de l’événement.
- Il faut aussi interroger les habitants du quartier sur l’opportunité d’un tel aménagement. Cette demande avait été formulée  au moment de la demande de la maison des associations et avait suscitée de fortes oppositions. L’occupation incontrôlée en été pourrait créer pour les habitants proche du lieu des nuisances.  Ce n’est peut être pas non plus le genre d’installation que souhaiteraient les jeunes du quartier ?
Projets, date à venir
- Carnaval sur la plage avec les enfants des écoles et la M.P.T. Samedi 28 mars. Un atelier de préparation sera animé de 14 H 00 à 17 h 00 le 
mardi à la maison des laurons.
Confection des décorations « préhistoriques"
les 25 février- 3 mars - 10 mars - 17 mars et 24 mars.
Ouvert à tous.
(En cours construction d’un char avec la M.P.T, 4 membres du C.I.Q y participent.)
Même chose pour les costumes. Carnaval MARTIGUES le 4 avril.
- Fête des Plantes  9ème édition. Le 26 avril
- Nettoyage avec les Perles de la Côte, la M.P.T et la S.N.L dans le cadre de calanques propres. Date non communiquée
- Démarrage du Jardin Partagé avec la M.P.T
- Cinéma en plein air « Un été au ciné» .En août.
- Fête des associations avec la S.N.L. Date à convenir
Animations :
- Atelier « Petites Mains »
- Point livres (Fonctionne quand le local est ouvert, il n’y a plus de permanence)
 - Une proposition d’ouvrir une activité concernant les échecs ou le jeu de GO a déjà été faite. Nous n’avons pas eu encore de retour.
Ne pas hésiter à nous contacter.

 Secrétaire C.I.Q

lundi 10 février 2020

LAVERA SUITE



Que sont devenues les sardines ?


De plus en plus petites à cause
Du changement climatique ?
Les sardines ne boucheront plus le port

     Depuis les années 2010, la taille des sardines est passée de 13 à 10 cm et leur masse divisée par trois selon les travaux de l’Ifremer. Une inquiétante mutation qui met en péril toute la pêcherie méditerranéenne

jeudi 6 février 2020

LA POSTE DE LAVERA





La mobilisation des habitants du quartier se poursuit...
Un nouveau rendez-vous est lancé pour ce
Vendredi à 11.h en mairie annexe de Lavéra...
La Poste est en danger dans le quartier de Lavéra à Martigues et la mobilisation des habitants se poursuit, ils sont soutenus par la Ville et le député de la circonscription, en pointe sur la défense des services publics.
Un nouveau rendez-vous est lancé à la population pour ce vendredi 7 février à 11h en mairie annexe de Lavéra. Le point sera fait après une rencontre avec la direction départementale de La Poste. Les bureaux de Croix-Sainte et La Couronne seraient aussi menacés


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Un collectif de vigilance pour préserver
les bureaux de Poste


Alors que le bureau de Lavéra est menacé, la pétition lancée a déjà recueilli 1 000 signatures

On est là et va se battre pour sauver nos bureaux de Poste". Déterminés, les membres du collectif de vigilance sur les services publics de Martigues et Port-de-Bouc ont repris du service il y a quelques mois pour dénoncer la nouvelle politique de La Poste de réduction des coûts au niveau national et son ambition de "supprimer la moitié des bureaux de poste qui existent et n'avoir pas plus d'un bureau pour 20 000 habitants", soutient Frédéric Beringuier, postier et secrétaire du syndicat CGT. L'abandon possible par La Poste d'agences de quartiers aurait des conséquences dramatiques au niveau local puisque "la fermeture du bureau de Poste de Lavéra est évoquée", assurent-ils.
Soutenu par les élus locaux et notamment le député-maire PCF de Martigues Gaby Charroux mais aussi l'adjointe au maire déléguée à la démocratie, la vie associative, l'habitat et les Maisons de quartier, Nathalie Lefebvre, le collectif a commencé une grande campagne de sensibilisation auprès des usagers, avec un tract plutôt explicite "Halte à l'abandon de Poste". Ils ont déjà recueilli un millier de signatures, saluent l'implication des usagers qui retournent la pétition et ne comptent pas s'arrêter là.
Ils dénoncent aussi "la pression de La Poste exercée sur les maires de France". "Ils essaient de faire sauter les verrous, regrettent Alain Vinatier et Francis Fournier, organisateurs du collectif. Avant, il fallait l'assentiment du maire et du conseil municipal pour créer une agence postale, désormais, seul l'avis du maire suffit". Le collectif entend aussi travailler pour que "les usagers puissent siéger à la commission départementale de présence postale ".
"Destruction du service public"
"J'ai la désagréable impression que la banque postale est en train de devenir la banque tout court et se débarrasse de ce qui constitue le service public de l'acheminement du courrier", déplore de son côté Gaby Charroux.
Après un entretien avec le nouveau directeur de La Poste de Jonquières et un responsable de La Poste, le maire a bien compris que certains bureaux posent problème et qu'on voulait lui "refiler le bébé" concernant le bureau de Lavéra. "La proposition c'est d'ouvrir un accueil postal communal assuré par la Ville, moyennant une somme de 12 000 euros par an qui correspond en fait à l'économie de loyer que la Poste ferait, détaille Gaby Charroux. Sinon on nous promet de rester encore trois ans mais au lieu de 18 heures d'ouverture par semaine, ce sera douze heures seulement". Le genre de choix que le député-maire n'a pas vraiment envie de faire. "Il faut en discuter avec les élus et le collectif pour savoir ce que l'on veut mais ils portent la destruction du service public alors que la banque postale perçoit 300 millions d'euros du CICE (Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi)", dénonce-t-il.
"Faire des propositions"
D'autant plus que le retour d'expérience dans d'autres communes n'est pas vraiment exemplaire selon les membres du collectif. Outre les problèmes de confidentialité que ce système peut poser, "si le relais postal part chez les commerçants, le risque de fermeture devient encore plus important", prévient Frédéric Beringuier. En attendant, le collectif et veille et continue de sensibiliser devant les bureaux postaux. "Il faut faire des propositions. On ne peut pas seulement rester à la défense de l'existant, suggère Francis Fournier. Il faut aussi discuter sur le contenu du travail avec les postiers et la population".


"Adapter notre présence"
"Aujourd'hui on doit appréhender les évolutions des villes et La Poste doit se transformer", assure-t-on au service communication. "Le maire a été approché pour parler de la baisse de fréquentation sur l'agence de Lavéra à Martigues et réfléchir à l'avenir de l'agence mais rien n'est acté. Il faut établir un diagnostic partagé mais rien ne se fait sans l'accord de la municipalitéAu niveau national, on peut transformer un bureau en agence postale communale ou en relais poste commerçants mais on ne fait rien sans accord. On comprend que l'idée de changement peut inquiéter mais l'idée n'est pas de faire disparaître les bureaux pour faire du chiffre mais on adapte notre présence".
La Poste de Martigues-Ferrières compte en moyenne 540 clients par jour, La Poste de Jonquières environ 400 clients par jour et environ 60 par jour à Lavéra.


Des travaux jusqu'à la fin du mois
Depuis mi-février, le bureau de Poste de Martigues Ferrières, située boulevard Hélène-Fournier, a fermé provisoirement ses portes en raison de travaux de modernisation. Le bureau va bénéficier d'une transformation totale de son espace où les principes du dernier modèle d'accueil et de conseil du Réseau La Poste vont être mis en place. Un investissement de 94 000 € pour le réseau La Poste.
La réouverture est programmée fin mars, le distributeur de billets externe de Ferrières reste en service, pour le reste les usagers sont invités à se rendre au Carré Entreprises de Ferrières pour les professionnels et dans les bureaux de Jonquières et Saint-MItre pour les particuliers.
A la fin du mois, les clients découvriront un espace d'accueil repensé avec la mise en place d'espaces dédiés, clairement identifiés en fonction des besoins des clients. "Cette modernisation des points de contacts marque la volonté de La Poste d'être le premier réseau de France en termes de services de proximité, auprès du grand public et les professionnels", indique-t-on du côté de La Poste.

Après des travaux à Ferrières, la modernisation du bureau de Martigues Jonquières est programmée pour cette année et devrait intervenir avant l'été.

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