samedi 29 août 2020

fermeture de la ligne de la Côte Bleue



·        INFO ROUTE
·        29/08/2020 À 08H15
SNCF : fermeture de la ligne de la Côte Bleue
pour travaux à partir du 31 août
·        01:28
La SNCF réalise des travaux de modernisation sur la ligne de la Côte Bleue, avec une fermeture totale de la ligne du 31 août 2020 au 25 avril 2021.
Aucun train de voyageurs ne circulera sur l’axe Marseille-Miramas via Port-de-Bouc durant cette période.
 
Ces travaux visent à permettre une levée partielle des ralentissements existants et à pérenniser le service ferroviaire à long terme sur cet axe métropolitain.
Le chantier consiste à renouveler 22 km de voie entre Carry-le-Rouet et l'Estaque et à poser 6 km de rails de sécurité.
Ces renouvellements de voies seront complétés par d'important travaux de sécurisation sur des ouvrages d'art et en terre : le tunnel de Rio Tinto (Marseille), le remblai des Eaux Salées (Carry-le-Rouet), et les versants du tunnel de Méjean, d'Erevine, de Baume de Lume, de Pierre Tombées et Araignons.
Pendant toute la durée du chantier, des trains de travaux circuleront sur les voies, il est nécessaire de rester vigilant.
Une substitution par cars SNCF et Métropole Mobilité sera mise en place pour vous proposer une alternative de transport.
Durant cette période, les guichets des gares de la Côte Bleue resteront à votre disposition avec des horaires modifiés. 
DISPOSITIFS D’INFORMATION POUR LES VOYAGEURS :
-Information sur le site TER Sud-Provence-Alpes-Côte d’Azur
-L’assistant SNCF disponible sur smartphone et tablettes
-Fil twitter en temps réel @TERSUD_SNCF
-Contact TER au 0800 11 40 23 (n° gratuit) tous les jours de 7h à 21h30
-Affichages en gare
-Annonces en gare
-Une adresse mail pour poser toutes les questions relatives au chantier : contact-paca@reseau.sncf.fr  avec la référence « Travaux Côte Bleue »
-Un site d’information sur les travaux : www.sncf-reseau.com


La ligne de la Côte Bleue - transportrail - Le webmagazine ferroviaire

communiqué du maire de Martigues


·        CORONAVIRUS
·        28/08/2020 À 21H20
Gaby Charroux interpelle l’Etat
sur sa gestion du covid19
Après avoir rencontré le ministre de la santé, le maire de Martigues vient de publier ce communiqué dans lequel il réclame du respect pour les territoires et de la pédagogie : 
« Le 25 août dernier paraissait un nouvel arrêté qui, dans le cadre de l’épidémie en cours, impose le port du masque dans la ville de Martigues ainsi que la fermeture des tous les bars et restaurants de 23 h à 6h.
Le 27 août, j’ai répondu à l’invitation en Préfecture d’Oliver VERAN, Ministre des Solidarités et de la Santé, venu pour évoquer avec les Elus concernés et les parlementaires des Bouches-du-Rhône ces nouvelles restrictions imposées par le gouvernement.
Depuis le confinement, l’Etat n’a eu de cesse d’interdire du jour au lendemain, laissant aux Maires le soin de « faire passer la pilule » aux habitants et aux acteurs économiques locaux.
J’ai donc pris mes responsabilités et j’ai répondu présent, animé par une double volonté : permettre mais protéger.
Parce qu’il fallait répondre aux besoins premiers des populations, j’ai pris toutes les mesures pour le maintien des marchés, de l’accueil dans les écoles des enfants des personnels mobilisés et des services auprès des personnes âgées ou vulnérables.
Puis la période de confinement s’est terminée et le constat été fait de la bonne gestion de la crise au plus près des habitants. On aurait pu s’attendre à plus de concertation de la part de l’Etat, au regard de l’expérience acquise, en proximité et dans l’urgence.
Au lieu de cela, les Français continuent de faire face à des informations complexes, changeantes et bien souvent contradictoires sur le port du masque, sur l’utilité du dépistage, sur toutes les précautions à prendre…
Il serait temps que la pédagogie soit au rendez-vous et que les territoires soient respectés par une concertation en amont des décisions pour des mesures qui tiennent compte des réalités locales. » 

vendredi 28 août 2020

Pollution de Kem One Lavéra.



·        ENVIRONNEMENT
·        28/08/2020 À 08H00

Pollution de Kem One Lavéra.

L'impact sur le milieu marin se précise



juillet dernier, une fuite était détectée au niveau d'un bac de stockage de chlorure ferrique appartenant à la société Kem One, une usine chimique située sur la plateforme de Lavéra. Ce produit fini, utilisé en particulier pour le traitement des eaux usées, s'est rapidement retrouvé dans l'anse d'Auguette. Malgré les moyens de pompage mis en œuvre notamment par les marins-pompiers, une nappe toxique de 6 hectares s'est répandue dans la mer. La baignade, les activités nautiques et de plaisance ont été interdites pendant plusieurs jours. 
Aujourd'hui, près d'un mois après, l'Institut écocitoyen pour la connaissance des pollutions a livré les premiers résultats de ses observations et analyses du milieu. Il a constaté, dès les premiers prélèvements, un taux d'acidité important dans l'eau et moins de poissons que d'ordinaire. "On avait fait des observations deux jours avant l'accident, donc ça nous donne un point de comparaison, précise Philippe Chamaret, le directeur de l'Institut Écocitoyen. On n'a pas constaté de mortalité de poissons, donc on suppose que le chlorure ferrique a dû précipiter leur nourriture en suspension au fond, ils sont partis pour trouver de quoi s'alimenter ailleurs. On a remarqué aussi des colorations inhabituelles sur certains crabes et une mortalité inhabituelle d'algues sur le rivage. Tout ça veut dire qu'il y a eu un impact de cette pollution, qui a été maximisé par des conditions météorologiques défavorables avec des températures très élevées."
Une pollution rarissime 
L'institut Écocitoyen va continuer à suivre l'évolution de l'impact de cette pollution à plus long terme pour tenter de comprendre ce qu'est devenu ce chlorure ferrique. Des oursins et des sédiments ont été prélevés et doivent être analysés. Ce travail est d'autant plus important qu'il pourra faire évoluer la connaissance scientifique sur ce type de pollution au chlorure ferrique. 
Un accident rarissime pour lequel Kem One n'avance toujours pas de causes. "Nous avons rendu un rapport intermédiaire sur l'origine de ce rejet accidentel aux autorités administratives, explique Bertrand Baudet, le directeur de Kem One Lavéra. Nous sommes en train de nettoyer la zone et le bac pour en savoir plus." De leur côté les syndicats ont eux aussi lancé une enquête. La CGT, qui s'étonne que ce bac n'ait pas encore été visité, confie : "Du point de vue réglementaire, tout était ok sur ce bac. Il faut qu'on arrive à comprendre comment il a pu fuir quand même et aussi pourquoi la cuvette de rétention sur lequel il est posé n'a pas rempli son rôle. Peut-être qu'il faudrait aller encore plus loin dans la réglementation."
Kem One a néanmoins avancé sur l'étude de l'impact environnemental de cette pollution qu'il s'est engagé à suivre. Des plongées sont régulièrement organisées par des experts pour constater les dégâts sur le milieu marin. "On observe qu'à certains endroits il y a un dépôt qui s'est formé sur le fond, poursuit le directeur de l'usine. Ce qui est logique puisque le chlorure ferrique est un floculant qui, au contact avec les matières organiques présentes dans l'eau, a créé des flocs qui se sont déposés. Ils ont été prélevés et des analyses sont en cours pour savoir si nous devons intervenir ou pas, s'il est bénéfique ou pas de retirer ces produits, au risque de faire plus de mal que de bien aux fonds marins." On devrait en savoir plus dans le courant du mois de septembre. 


Écoutez l'intégralité des interviews du directeur de l'Institut écocitoyen et du directeur de Kem One Lavéra. (Vidéo) 





de la sueur et des larmes au labo


VENDREDI 28/08/2020 à 10H53 - Mis à jour à 13H10
Coronavirus - Martigues : de la sueur et des larmes
au labo
Les biologistes se démènent pour encaisser
le choc de la demande de dépistage à Amavet,entre impatience et déraison...
Par Pascal Stella
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provence

Ça défile tous les jours à Amavet et c'est embouteillé ! Si on a ouvert les vannes sans rendez-vous, on regrette un effet pervers du test massif avec des gens qui viennent sans avoir des symptômes ni être un cas contact
Je n'ai jamais connu ça en 30 ans de carrière !" Le docteur Jean-Pierre Arzouni, médecin biologiste au sein de Labosud du côté d'Amavet, ne cache pas une "situation exceptionnelle". Un temps hors norme aux portes de son laboratoire et sur le fil du rasoir, comme un nouvel effet de la crise liée au Coronavirus.
Ici, c'est la fièvre des tests Covid, comme dans bon nombre de laboratoires privés, flirtant avec une crise de nerfs aussi parfois, on va y venir, dans ce centre qui centralise presque le tout Martigues pour l'heure, avec l'hôpital. À un jet de pierre de la clinique, les patients défilent. Une file d'attente qui s'allonge sur le trottoir.
Depuis 25 juillet, le gouvernement a annoncé que n'importe qui pouvait désormais se présenter dans un laboratoire pour subir un test PCR (avec prélèvement naso-pharyngé). Un dépistage accessible gratuitement et sans ordonnance, en tout cas couvert par l'assurance maladie. Comme une traînée de poudre, dans le labo d'Amavet qui propose un service de prélèvement sans rendez-vous, sur le créneau de 9 h à 17h30, le nombre de patients explose. "300 tests par jour", pointe Jean-Pierre Arzouni. Au point de devenir une course sans fin avec des problématiques de flux tendus aussi voire le risque d'un manque de réactifs ou des écouvillons de prélèvement !
"Les délais des résultats qui se creusent"
Comme un syndrome de l'IHU du professeur Raoult, on fait la queue. Côté pile, une bonne chose parce que se faire dépister c'est la clé de la lutte (comme les gestes barrières...) contre le Coronavirus. Oui, mais voilà, ça crée un sacré embouteillage, avec, côté face, un effet pervers du "test massif". "On a été pris de court devant le volume de demandes, avoue le biologique, même si le laboratoire se met en quatre. "On se retrouve en porte à faux. Pris à partie parfois par des gens qui en ont besoin pour un voyage ou une opération".
"On a une capacité de test de 1800 analyses par jour, alors que l'on tourne autour 2 200 tests au quotidien sur le réseau Labo sud. On creuse les délais", se désole le directeur d'Amavet. De 24h, on est passé à 48 h puis même 72 heures et même au-delà parfois. Comme le serpent qui se mord la queue, avec un taux de positivité autour de 5 ou 6 % (un ratio de 120 cas avérés sur 1 800), là où on était à 0,6 % à la sortie du confinement, soit dit en passant. Ce qui doit inciter à la vigilance au-delà du port du masque qui s'impose plus que jamais. Comme la raison...
Dans les files d'attente, il y a ceux qui ont été en contact avec une personne positive, des voyageurs obligés de fournir un résultat négatif datant de 48 h maximum. Sans ordonnance, pas de distinction, avec ceux qui viennent sans vraie raison, parce qu'"ils ont vu de la lumière" en exagérant à peine, en tout cas juste pour se rassurer. "On a vu des gens qui viennent se faire tester 2 ou 3 fois", souffle une technicienne de laboratoire. Comme une déraison au détriment des patients en ayant le plus besoin ! "On se retrouve avec une surtension dans la gestion Covid et une médecine hors Covid qui en pâtit avec des patients qui ont peur de venir !" analyse Jean-Pierre Arzouni. "Les personnes, sans signe clinique, n'ont que peu d'intérêt à savoir s'ils ont rencontré le virus face aux urgences cliniques et dépistage pré-opératoire."
Reste que la réalité est là, une course sans fin qui génère de vives tensions matérielles et humaines aussi. On avoue des pleurs chez les secrétaires, tiraillées entre des gens parfois agressifs et un téléphone qui s'agite frénétiquement, tout en jonglant avec l'accueil et en conciliant l'activité traditionnelle du labo.
Le symbole d'un stress ambiant et une panique chez certains dans la ville. "Il y a un grand désordre dans les esprits, décrypte le docteur Gérard Eddi. Un climat "insecure". On arrive à un seuil de frustration des gens aussi face à la complexité virologique alors que la société est habituée à trouver des solutions facilement".
Du calme !
"Il y a une pression, des personnels au front depuis mars, fatigués par la première vague. On essaie de répondre à un été de folie, prolonge M. Arzouni. C'est stressant, on a toujours peur de passer à côté d'un cas positif ou un patient qui doit être hospitalisé". Car au-delà des retards, que l'on espère "rattraper d'ici la fin de semaine", on ne chôme pas. "On a fait une augmentation de la production en équipement avec un 4e automate d'ici la semaine prochaine (machine d'analyse), nous avons embauché 17 CDD depuis le début de la crise en mars sur notre réseau. On a élargi les amplitudes horaires. Aujourd'hui, le plateau technique travaille de 7 h jusqu'à minuit, avec des dépistages le samedi et le dimanche".
Tester et encore tester, a martelé les autorités. Amavet le fait ! Et si on annonce une offre qui devrait se décliner au Grès et à Martigues Nord (Auchan), il y a tous les signes que la situation est sacrément tendue. Après la faillite des masques en mars, le dépistage c'est pas gagné. Si l'ARS a déjà prévu "une priorisation des tests" selon les cas, il va falloir le dire à ceux qui font la queue... Une certaine mesure et le calme dans les rangs rendraient service à tout le monde...

POLÉMIQUES COVID-19



COVID-19
Michèle Rubirola, maire de Marseille, Martine Vassal, présidente de la Métropole et du Département et le professeur Didier Raoult se sont unis hier dans un front commun contre le virus…
et contre la manière dont le ministre de la Santé, Olivier Véran - présent hier dans la cité phocéenne - a imposé de nouvelles mesures sanitaires dans les Bouches-du-Rhône.
Front commun contre le Covid-19. Politiquement, presque tout oppose Martine Vassal la patronne du département et de la Métropole à Michèle Rubirola, la nouvelle Maire de Marseille.
Mais les deux élues locales se sont unies face au virus lors d'une conférence de presse ce matin dans un amphithéâtre de l'IHU Méditerranée infection.
 Comme si Martine Vassal et Michèle Rubirola se plaçaient sous la protection de Didier Raoult. Et contre le pouvoir parisien qui imposerait des mesures sans concertation, notamment la fermeture des bars et restaurants à 23 h.

·        CORONAVIRUS
·        27/08/2020 À 19H35

Le ministre de la Santé étonné

par les déclarations de Michèle Rubirola

 

En déplacement à Marseille ce jeudi le ministre de la Santé, Olivier Véran, en sortant d'un laboratoire où l'on pratique des tests de dépistage au Covid-19, a réagi aux propos tenus ce matin même par la nouvelle maire de Marseille, Michèle Rubirola.
Lors d'une conférence de presse commune avec la présidente de la métropole et du département, Martine Vassal, la maire de Marseille avait critiqué la gestion de la crise sanitaire par le ministre et demandé plus de moyens police pour les contrôles dans les rues de la cité phocéenne.
Je m'étonne de ces déclarations, la dernière fois que je l'ai eu au téléphone, il y a 4 ou 5 jours, elle me disait sortir justement d'une réunion de concertation et nous avons envisagé ensemble les moyens de faire respecter et l'aide que l'État apporterait à la ville de Marseille pour faire respecter les mesures qui seraient mises en place, donc, elle est parfaitement au fait et au courant et croyez-moi, je le lui rappellerai tout à l'heure, et si elle a des trous de mémoire je les lui lèverais, nous travaillons bien ensemble."
A déclaré le ministre de la Santé avant d'aller retrouver la première magistrate de la ville de Marseille pour une réunion commune.


mercredi 26 août 2020

convoi exceptionnel!



·        VIE DES COMMUNES
·        26/08/2020 À 17H43
Martigues, attention convoi exceptionnel !
·        00:13

C'est toujours un moment exceptionnel, systématiquement encadré par les forces de l'ordre.
Cet après-midi, un nouvel et important convoi maritime ITER a emprunté le Canal de Caronte, pour se rendre à Berre. 

mardi 25 août 2020

Feu de Saint-Blaise : le bilan à 22 heures



·        FAITS-DIVERS
·        24/08/2020 À 22H39
Feu de Saint-Blaise : le bilan à 22 heures

À 22 heures:  1300 sapeurs-pompiers luttent toujours contre les flammes, le feu a parcouru 500 hectares. le feu évolue toujours mais avec un vent en baisse. Les sapeurs-pompiers sont toujours dans l’action.
À 20h45, le bilan humain : « Des blessés légers, aucune victime
Le bilan provisoire fait état de six sapeurs-pompiers blessés légèrement. Aucun n’a nécessité une évacuation. Parmi la population, une femme enceinte a été prise en charge par les secours, une autre personne a été évacuée de la salle Gagarine à Port de Bouc pour coup de fumée.
Les complexes pétrochimiques de Lavéra et Fos sur Mer ne sont pas impactés.
Plusieurs maisons endommagées font l’objet de reconnaissance. L’estimation des dégâts matériels est en cours d’évaluation » extrait communiqué de presse Sdis 13 




·        FAITS-DIVERS
·        25/08/2020 À 05H29
Feu de Saint-Blaise : Le point à 06h00
en direct sur Maritima Radio
·        00:48
6h00 :  Feu fixé, les nouvelles sont plutôt bonnes, un millier de sapeurs-pompiers cette nuit sur le terrain.
Au lever du jour, Les secours décideront de l'emploi ou pas des moyens aériens . Des secours qui vont être très attentifs dans la journée à une bascule de vent . Le vent de la mer Qui devrait arriver dans l'après-midi pourrait réactiver certaines lisières du feu. 
5h30 : La zone de Saint-Blaise est toujours interdite à la circulation ce matin par les forces de police. Les pompiers sont toujours en action avec près de 1 000 hommes sur le terrain. À minuit les pompiers étaient concentrés sur trois zone : flanc gauche vers Saint-Matré, flanc droit vers Port de Bouc et le « secteur Fabrique » quartier Saint-Jean à Martigues .
 point précis à 06h00 sur Maritima Radio dans le journal de Guillaume Blardone 

samedi 22 août 2020

La guerre est ouverte








Interdiction d’accès et de circulation



CIRCULATION/STATIONNEMENT, ENVIRONNEMENT, LITTORAL
Publié le 22 août 2020


LITTORAL.
Interdiction d’accès et de circulation
à l’intérieur des zones détruites
par le feu du 4 août 2020
La commune de Martigues interdit l’accès et la circulation à l’intérieur des zones détruites par le feu du 4 août 2020 jusqu'au 4 octobre 2020.

Interdiction d’accès et de circulation

L’accès et la circulation à l’intérieur des zones détruites par le feu du 4 août 2020 sur le territoire de la Commune de Martigues, hors axes routiers et telles qu’elles figurent en rouge sur le plan annexé à l'arrêté n° 703.2020 (téléchargeable ci-dessous), sont strictement interdits

vendredi 21 août 2020

bel été MARTEGAL




Martigues : Départ de feu dans le quartier des Laurons


Un incendie sur la route des Laurons
comme une piqûre de rappel...

Martigues a retenu son souffle hier en fin d’après-midi, avec le douloureux souvenir du terrible incendie du 4 août subitement plus vif. Une fumée partie autour de 18h30 dans le secteur des Laurons qui aura sonné Le branle  bas de combat pour les pompiers du Sdis, avec un Dash en surveillance avant l’entrée en action d’un hélicoptère bombardier d’eau.
Si le centre du Sdis annonçait assez rapidement un feu sous contrôle, sans grande inquiétude sur une zone de broussailles et de végétation plutôt basse, un vent mine de rien autour des 40 km/h en rafale aura nécessité plus d’une heure de lutte avant de noyer la zone.
Environ 2 ha ont été parcourus. Avec un rappel à la vigilance absolue pour éviter tout départ de feu.
P.S



·        FAITS-DIVERS
·        20/08/2020 À 18H55
Martigues : Départ de feu dans le quartier des Laurons
Une fumée blanche remonte en ce moment dans le quartier des Laurons.  La communication des pompiers indique qu'il s'agit d'un feu de broussailles. "Le feu vient tout juste de démarrer et il n'y a pas d'inquiétude particulière car il n'y a pas de vent" détaille encore la communication des pompiers du département. 
Un Dash est en train de survoler la zone. Plus d'informations à venir sur Maritima. 
le feu aurait démarré en bordure de la route de Ponteau dans des champs


Les sapeurs-pompiers luttent actuellement contre un feu dans le quartier des Laurons. De la végétation brûle, une importante fumée se dégage du sinistre qui est en voie d’être maîtrisé. Vidéo François Delena 


Les sapeurs-pompiers au sol ont reçu le renfort d’un hélicoptère bombardier d’eau pour éteindre le sinistre. Vidéo François Delena 


mercredi 19 août 2020

Vidéos documentaire feu de Martigues



Vidéo documentaire feu de Martigues 04/08/2020


Voici la vidéo documentaire FC13 réalisée avec l'ensemble des images témoins, partenaires et chasseurs de feu du mardi 04 août 2020.
Nous revenons en détail sur les deux incendies les plus importants, le feu de Port-de-Bouc et de Martigues. L'ensemble de ces images sont inédite



·        SOCIÉTÉ
·        16/08/2020 À 11H10
Martigues incendie:
Jérôme Vernier à la rescousse aux Tamaris
·        02:27

Jérôme Vernier, patron-pêcheur à Carro sur le « Paphido II » a ramené à bon port 111 personnes évacuées de la plage des Tamaris, lors du terrible incendie de Martigues le 4 août dernier.
Jérôme Vernier dormait chez lui ce mardi 4 août au soir. Et pour cause, il devait se lever vers 2 heures du matin, comme chaque fois, pour partir en mer faire son métier de patron-pêcheur avec son équipage en ramenant du poisson. Mais c'est sa mère qui le réveille au téléphone bien plus tôt que prévu : « La police sollicite des bateaux pour évacuer les personnes qui cherchent à échapper aux flammes du côté des Tamaris ».
C'est ainsi que Jérôme Vernier se lève et compose un équipage avec ses deux matelots habituels, un troisième en renfort et quatre policiers de Martigues et Istres. Tous prennent la mer et se rendent à 1,5 miles nautiques (3 kms) pour participer à l'évacuation des personnes.
Le bateau, c'est le « Paphido II » construit à Saint-Malo en 1989 et rattaché au port de Carro depuis 7 ans. Aux dimensions de 18 mètres par 6,5 pour 180 tonnes et 440 chevaux, c'est un des plus imposants chalutiers du port de Carro, taillé pour l'Atlantique. Arrivé sur site, Jérôme décide prudemment de rester à 400 mètres de la côte en raison du fort tirant d'eau du navire.

C'est les allers-retours des semi-rigides de la gendarmerie maritime, des marins-pompiers de Port-de-Bouc, de la SNSM ou de plaisanciers qui transportent les sinistrés de la plage jusqu'au bateau. Avec la difficulté, par Mistral, de monter à bord par une simple échelle de corde. Possible pour qui est forme mais nettement plus compliqué pour les personnes âgées. Une partie des évacués monteront à bord par l'arrière, au travers de la machinerie qui permet de manipuler les filets de pêche. Jérôme sera surpris du « calme » des personnes une fois à bord, en état de choc pense-t-il. On le serait à moins. Au total, c'est 111 personnes, soit quasiment 1/4 des évacués par la mer, qui seront récupérées sur le Paphido II pour être amenées au (bon) port de Carro dans la nuit.

Le matin au marché aux poissons de Carro, l'étal habituellement garni du Paphido II restera vide, Jérôme étant reparti se coucher après cette expérience incroyable; de toutes manières il n'avait plus le temps d'aller pêcher.
Aux côtés de plusieurs plaisanciers ayant participé au sauvetage, Jérôme Vernier a reçu jeudi 13 août la médaille de la DDSP, Direction Départementale de la Sécurité Publique. C'est une décoration qui honore celles et ceux qui ont fait « acte de courage et de dévouement ». Une médaille qui pourrait en précéder une autre, celle du Mérite National Maritime pour « Faits de mer ». En tout cas cela a été demandé par William Tillet, le Premier Prud'homme de pêche de Martigues.

Incendies:
témoignage de vacanciers évacués par la mer

Ils s'appellent Marie-Corinne et Alain Lagreze, venus de Pau (Pyrénées Atlantique) en vacances au camping Lou Cigalon à La Couronne. Hier soir c'est par la mer, plage des Tamaris, qu'ils ont été évacués avec les Marins-Pompiers pour arriver au gymnase des Salins, à Martigues Ferrières.
Là avec leurs seuls vêtements mouillés sur le dos, ils ont été pris en charge grâce à l'élan spontané de solidarité. Ils ont obtenu 2 lits de camp mais n'ont guère dormi.
En fin de matinée ils étaient toujours en attente de la suite. Leur camping a été sinistré, autant dire que leurs affaires ainsi que leur voiture pourraient être partis en fumée.

mardi 18 août 2020

NOUVEAUX CAS DU COVID



·        CORONAVIRUS
·        18/08/2020 À 17H59
Covid19 : 1137 nouveaux cas dans la région en une semaine
·        00:20
Covid19 : 1137 nouveaux cas dans la région en une semaine
       

L’ars vient de publier son rapport hebdomadaire. Il fait état de 1137 nouvelles contaminations au virus en une semaine.
 4 personnes ont perdu la vie depuis la semaine dernière
Une personne en plus a été admise en réanimation.
On dénombre 59 hospitalisations en moins dans le même temps.


Communiqué Ville de Martigues



·        (Communiqué Ville de Martigues)
·         
·        CORONAVIRUS
·        18/08/2020 À 15H15
Martigues :
port du masque obligatoire
lors des manifestations du Bel été
  
Afin de mieux lutter contre la propagation du virus de la Covid-19, le port du masque est désormais obligatoire pour l’ensemble des manifestations organisées dans le cadre du Bel été martégal.












Plages des Laurons