mardi 31 août 2021

Réservez votre journée


Du samedi 11 septembre

Avec nous plage des Laurons

 Fête de Quartier !

Des associations de 

ST PIERRE, ST JULIEN, les LAURONS

Peut être une image de 7 personnes, enfant, personnes debout et texte

Les inscriptions ont commencé !

Un seul numéro : 09 75 35 13 07

Peut être une image de texte qui dit ’LAURONS EMBRE 2021 IMITEES) Activités 11H30 casque obligatoire initiation paddle au dela Faune PROMENADE BATEAU( enfants adulte par Jeux direction enfants Stand journée) ans) photos surl Faune Flore du quartier (la 12h30: Allocutionde Repas inscription APRES-MIDI (Pass sanitaire obligatoire 14H00 Animation Musicale avec notre Ami NONO GRATUITE ENFANTS CRINIERESD'ANGE poney ou Calèche 15H00 CONCOURS DE BOULES parl 'Association Boule Bleue JARDIN PARTAGE Animé Thierry MARSAT les Jardiniers’

Bureau du CIQ

 


Notre réunion mensuelle est prévue ce jeudi 2 septembre (Nos réunions ont lieu tous les 1ers jeudis du mois) à 17h30 à la maison des Laurons.

Nous recevrons 2 personnes porteuses d’un projet et nous discuterons de notre représentation à la fête organisée par la MPT sur la plage des Laurons le samedi 11 septembre.

 

Secrétaire CIQ


lundi 30 août 2021

Vaccination sans rendez-vous

 

·        CORONAVIRUS

·   29/08/2021 À 19H20

Vaccination sans rendez-vous

Jusqu’à 15h tous les jours à Martigues

 

Le centre de vaccination anti-Covid situé au gymnase des Salins à Martigues propose à tous de venir se faire vacciner sans rendez-vous en se présentant avant 15 heures.

Pour rappel les horaires d'ouverture du centre sont de 9 heures à 17 heures du lundi au samedi

La nouvelle gare routière est en service

 

·   30/08/2021 À 06H00

Martigues :

La nouvelle gare routière

Est en service

Le terminus des bus à la place des Aires c'est terminé.

La nouvelle gare routière de Martigues entre en action aujourd'hui. Le nouveau Pôle d'Échange Multimodal, pour être précis, se situe tout près de la Halle dans le quartier de l'Hôtel de Ville et rassemble :

Lignes de bus et de cars

Covoiturage,

Navette maritime

Et même vélos

Notez que les arrêts de bus de place des Aires continuent à fonctionner mais il n'y a plus de terminus sur place.

Que pensent les usagers de cette nouveauté ?

Regardez la vidéo de leurs réactions prises à la place des Aires.

(Interviews et images : Rémy Reponty pour Maritima médias;)


samedi 28 août 2021

La Maison pour tous

 SAINT-JULIEN

La Maison pour tous

New-look prend forme


Le pôle d’échanges deviendra réalité lundi

 


Transports :

 Le pôle d’échanges deviendra réalité lundi

Aménagé derrière le commissariat, il sera le point de départ de 24 lignes, et permettra aux abonnés des réseaux de transport d’avoir accès à un parking et un abri à vélo gratuits

Le pôle d’échanges de Martigues

vendredi 27 août 2021

POUR INFO...

 Covid-19 :

La FDA, l'autorité de régulation du médicament aux Etats-Unis, a publié la liste des composants du vaccin Pfizer-BioNTech. Sciences et Avenir les a passés en revue avec un spécialiste. Décryptage. :

 



 

La FDA, l'autorité de régulation du médicament aux Etats-Unis, a publié l'intégralité des composants (en anglais) du vaccin contre le Covid-19 développé par le laboratoire Pfizer-BioNTech. Ce vaccin utilise une nouvelle technique à ARNm pour venir à bout du SARS-CoV-2, le virus responsable du Covid-19. Sciences et Avenir a passé la liste en revue avec Bruno Pitard, directeur de recherche au CNRS et spécialisé en vaccinologie.

L'ARNm ou le principe actif du vaccin

L'ARNm est le composant central du vaccin. C'est grâce à cette stratégie que l'organisme va apprendre à se défendre contre le virus. La portion d'ARN du virus permet de créer des protéines spikes (les protéines grâce auxquelles le virus nous infecte) dans l'organisme du patient vacciné. En l'inoculant au patient, le vaccin fournit à l'organisme une sorte de mode d'emploi pour fabriquer des petits morceaux de virus inoffensifs, des sortes de cibles pour s'entraîner. Ainsi, lorsque l'organisme croisera le véritable virus par la suite, il saura se défendre contre lui.

 Le procédé est le même que pour les vaccins traditionnels, qui, eux, n'utilisent pas de morceau génétique mais une partie du virus lui-même ou un virus inactivé. L'ARN a tout juste le temps de transmettre le "plan de construction" avant de disparaître. "L'ARN est une molécule fragile et très instable. Elle survit dans l'organisme l'espace de quelques heures, voire de quelques jours maximums après avoir donné ses instructions", explique Bruno Pitard. Et aucun risque que l'ARN n'engendre de changements génétiques dans notre organisme. "Impossible de modifier notre ADN en se faisant injecter un vaccin à ARN. Les molécules d'ARN restent dans le cytoplasme, un compartiment de la cellule qui se trouve entre la membrane et le noyau. C'est là qu'il fabrique ses protéines. L'ARN ne peut pas entrer dans le noyau, où seul l'ADN se trouve. Il n'y a pas d'interaction entre notre ADN et l'ARN de virus injecté".

Une enveloppe de lipides

·        ALC-0315 = bis(2-hexyldécanoate) de ((4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyle)

·        ALC-0159 = 2-[(polyéthylèneglycol)-2000]-N,Nditétradécylacétamide

·        1,2- distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine

·        Cholestérol

 

Impossible d'injecter directement l'ARN sous forme de vaccin chez un patient, auquel cas il ne survivrait pas dans notre corps et la vaccination ne serait pas efficace. Il faut pour cela lui créer une sorte d'enveloppe à base de lipides. Mais pas n'importe quels lipides. Ils sont choisis en fonction de leur charge électrique, afin que le mélange soit équilibré. "Un lipide cationique [chargé positivement, ndlr] sert à s'associer aux molécules d'ARN qui elles sont chargées négativement. Les deux charges vont s'accrocher ensemble afin d'équilibrer la préparation." 

Les autres lipides permettent de s'assurer que la solution soit stable. "Le polyéthylènegycol permet, lui de créer des sortes de cheveux tout autour de la particule. Ces cheveux servent à éloigner deux particules pour éviter qu'elles ne fusionnent entre elles. Dès que deux particules s'approchent, cela crée un phénomène de répulsion." Ainsi, la solution reste stable et homogène.

 

Les sels, pour un mélange isotonique

·        Phosphate dibasique de sodium dihydraté

·        Phosphate monobasique de potassium

·        Chlorure de potassium

·        Chlorure de sodium

 

La liste publiée par la FDA mentionne quatre types de sels différents dans la composition du vaccin de Pfizer et BioNTech.

Ces sels rendent le mélange isotonique. "A l'injection, le vaccin a donc la même tonicité qu'un environnement biologique. Sans eux, la solution pourrait faire éclater des cellules une fois injectée." Ajouté à cela, les sels permettent de maintenir le PH du vaccin. "Il reste entre 6 et 7, sinon, cela devient douloureux à l'injection."

 

Le saccharose, un agent de conservation

Enfin, le vaccin à ARN comporte aussi du sucre pour ses propriétés de conservation.

Publier la liste des composants permet d'éviter des réactions allergiques à certains patients, c'est pourquoi ces listes sont disponibles pour les vaccins déjà sur le marché. Au Royaume-Uni, premier pays à autoriser le vaccin de Pfizer et BioNTech, deux personnes (souffrant d'allergies au point de garder toujours de l'adrénaline sur elles) ont été sujettes à des réactions allergiques après l'injection. Si la substance responsable n'a pas encore été identifiée, l'Agence britannique de régulation du médicament déconseille désormais le vaccin aux personnes avec des antécédents de crises allergiques aiguës.

 

Les citoyens s'interrogent :

 


       Quels liens entre santé et environnement ?

       Comment prévenir les impacts sur la santé ?

Une réponse concrète d'un des acteurs du territoire : étude d'impact de la pollution de l'air sur les allergies au pollen.

Quel est l'impact de la pollution de l'air sur nos allergies au pollen ? C'est la question à laquelle l'étude MISTRAL tentera de répondre.

Cette étude vient de commencer et durera une année, sur le territoire de l'étang de Berre, Marseille et Aix-en-Provence. Elle consiste à analyser les symptômes allergiques déclarés par les citoyens, ainsi que leur exposition à la pollution atmosphérique et aux pollens.

L'objectif est de mieux comprendre ce qui déclenche et ce qui exacerbe les crises allergiques afin de mettre en place des dispositifs de prévention adaptés et de proposer une application mobile qui permettrait d'anticiper ces crises et aiderait à les gérer. Cette étude réalisée en partenariat avec KYomed INNOV, MASK-AIR, l'APPA, AtmoSud, le R.N.S.A, et la Métropole d'Aix-Marseille Provence conjugue expression des citoyens en temps réel et respect des bonnes pratiques éthiques, méthodologiques et scientifiques.

En savoir plus sur l'étude MISTRAL

https://clin.edop.fr/etude-mistral

https://clin.edop.fr/etude-mistral

Prenez part à l'étude MISTRAL


La réussite de cette étude dépend

De la participation volontaire des citoyens.

Elle s'adresse à des personnes :

       Résidant sur le territoire PACA,

       Majeures,

       Souffrant d'allergies aux pollens,

       Disposant d'une adresse mail valide, d'un numéro de téléphone mobile et d'une connexion internet.

Si vous souhaitez en savoir plus ou participer à cette étude, rendez-vous sur le site :

www.MASK-PACA.com

À propos

La rhinite allergique (RA) saisonnière, aussi appelée « rhume des foins » ou allergie saisonnière, a des conséquences multiples : troubles du sommeil, fatigue, humeur dépressive, altération de la qualité de vie et de la productivité, et affections comorbides comme l’asthme, qui concerne un tiers des patients souffrant de RA. En Europe, plus de 150 millions de personnes souffrent de rhinite allergique et plus de 25 millions souffrent d'asthme. Environ 30% ont une rhinite non contrôlée pendant l'exposition aux allergènes.

Des études montrent que la pollution peut jouer un rôle dans l'amplification de la réponse aux allergènes polliniques inhalés en induisant des modifications morphologiques et fonctionnelles des épithéliums nasaux et bronchiques, mais aussi en induisant des modifications structurales des molécules allergènes. Le projet POLLAR (Impact of air pollution on asthma and rhinitis) a permis de mettre en évidence que si les symptômes de RA sont bien aggravés par une exposition à la pollution atmosphérique, cet effet n’est pas retrouvé pour tous les pollens : ce lien a été observé par exemple pour les pollens de graminées mais pas pour les pollens de bouleau.

Consulter la fiche action "Projet Mask@Paca"  

https://mask-paca.com/accueil/

Dispositif RÉPONSES

 

Cette newsletter mensuelle permet de mettre en lumière une des actions en réponse à une attente citoyenne dans le cadre du dispositif RÉPONSES. La parole est ainsi laissée tour à tour aux associations, collectivités, industrielles, services de l'État et établissements publics, salariés en fonction de leurs actualités.

 

Le dispositif RÉPONSES est né de la volonté d'apporter des réponses aux préoccupations des citoyens concernant la qualité de l'air. Grâce à un dispositif inédit tant par son envergure que par sa méthode et l'implication des acteurs, et après une année d'écoute et de dialogue avec les citoyens, un plan d'action dédié à la qualité de l'air a été co-construit. Une plateforme internet a été créée pour suivre ensemble l'évolution de ce plan d'actions.

Vous avez une préoccupation ? Une attente ? La réponse est peut-être déjà là :

www.dispositif-reponses.org

Si non, écrivez-nous à contact@dispositif-reponses.org

jeudi 26 août 2021

DERIVES

Avant le spectacle les DECORS stationnement au Port des Laurons





Un "spectacle Ovni" aux mille interprétations. Une sorte de grand débarquement dans une création qui marche sur l’eau, intitulée Dérives sous la coupe de la compagnie Ilotopie, basée à Arles, inspirée du joueur de flûte des frères Grimm, emportant les rats pour exorciser la ville.

Cela s’inspire d’une migration, du miroir aux alouettes. C’était une idée d’avant le Covid. L’idée c’était une transhumance. Un paysage onirique. L’eau est le prétexte pour aborder les mues individuelles et communautaires d’une société en plein bouleversement ; de travailler l’esthétique du pire, décrypte Dominique Noël, coauteure du spectacle avec Bruno Schnebelin, directeur artistique. On envoûte pour aller on ne sait où.

C’est au spectateur de se faire son propre cheminement. Aller droit dans le mur ? Ou plutôt vers un renouveau ? Évacuer les Fakes news et les idées fausses Un spectacle à intellectualiser en somme, vraiment original avec ces chimères qui s’éveillent sur l’eau. Une centaine de silhouettes en plastique thermoformées, rendues lumineuses à la nuit tombée grâce à des panneaux solaires intégrés, et équipées de flotteurs.

Guidée par un musicien enchanteur, un flûtiste, sur une embarcation perchée, cette armée de leds ou petit peuple désincarné de silhouettes a vogué sur l’eau…

Destination presque inconnue, escortée par trois drôles de bergers (sorte d’hermaphrodite, ni vraiment homme, ni vraiment femme), navigant sur des bateaux-pétales, autour de ce monde imaginaire.

Une danse en musique, tout en délicatesse ; apaisante avec la flûte et la clarinette. Une poésie pas comme les autres. La rencontre de l’eau avec le feu, autre élément du spectacle, semé au gré de la performance. Il ne manquait peut-être que le vent, un comble dans une terre de mistral, pour "franchir l’interdit" peut-être et dériver au-delà des bouées, ou une autre organisation pour rapprocher le monde et y voir de plus près…

Pascal STELLA



Peut être une image de 1 personne, position debout et plein air Peut être une image de 1 personne, position debout et plein air 

lundi 23 août 2021

Jet-skis illégaux à Martigues :

 

Jet-skis illégaux à Martigues :

La mise à l'eau de Boumandariel fermée

La mairie a décidé de couper court aux activités illégales qui s'y déroulaient, après les protestations de riverains et d'un loueur autorisé à y exercer

Par Éric Goubert


L'arrêté a été pris fin juillet, et l'accès à la cale est interdit "jusqu'à nouvel ordre".


Le contraste est saisissant. Là où, en juin et juillet, l'anse de Boumandariel, à la limite de commune entre Martigues et Sausset, était envahie de voitures, de leurs remorques, de jet-skis et de leurs propriétaires, l'endroit a désormais retrouvé son ambiance estivale habituelle. Le loueur autorisé, "Water sports 13", en place depuis onze ans, des promeneurs, des vacanciers, des riverains, quelques adeptes de la nuit à la belle étoile... Terminées donc les locations de jet-skis illégales, une spécificité marseillaise qui avait tendance à s'étendre du côté de Martigues.

En juin, les forces de l'ordre (police nationale, municipale, et gendarmerie maritime) s'étaient déplacées en nombre (Lire La Provence du 20 juin) pour donner un coup de frein à cette pratique se développant grâce à une communication basée sur les réseaux sociaux. Les membres de la "brigade nautique départementale police nationale", spécialisés dans ces contrôles, expliquaient : "Comme on mène un travail incessant de contrôles à Marseille, à la Pointe-Rouge comme à l'Estaque, ceux qui s'adonnent à la location sauvage de jets se déplacent." Certes en règle ce jour-là, leurs pratiques sont bien connues des policiers : paiement en liquide, et surtout peu de vérifications de l'habilitation des clients à piloter un jet, là où le permis bateau peut être nécessaire. Pas de permis, pas d'assurance : en cas d'accident sur l'eau, la situation peut vite devenir dramatique.

Pour mettre fin à la situation, la municipalité n'a pas tergiversé : elle a pris le 30 juillet un arrêté interdisant "strictement l'usage de la cale servant de mise à l'eau à l'anse de Boumandariel." Même si, contactée par nos soins, elle ne compte pas communiquer davantage sur le sujet, les termes de l'arrêté, consultables sur place, sont explicites. Ils reviennent notamment sur "diverses pétitions des riverains" de Boumandariel et des Tamaris, se plaignant "des nombreuses incivilités de praticiens de jet-skis, telles qu'un stationnement anarchique de véhicules", rendant l'anse ou l'entrée des maisons "inaccessibles". D'autres griefs sont mentionnés, comme "des comportements insultants voire agressifs", des "barbecues sauvages". Le tout accompagné d'une méconnaissance des règles de navigation, les jets ainsi loués "évoluant dans la bande 300 mètres à une vitesse supérieure à celle autorisée dans cet espace et à des horaires particulièrement tardifs."

McDonald's Martigues recrute

·        EMPLOI

·   23/08/2021 À 16H15

McDonald's Martigues recrute

 

McDonald's Martigues recrute une dizaine de personnes en CDI de 104h à 130h mensuel

Qualité rechercher :  disponible, dynamique, travail en équipe.

Pour postuler : McDonalds-recrute.fr ou candidature spontanée au restaurant.


Avec "Dérives", Martigues prend le large

 

Avec "Dérives",

Martigues prend le large

La compagnie Ilotopie débarque sur les plages pour une création fluviale. 

A voir absolument

mercredi à la nuit tombée 

sur la plage des LAURONS

emplacement  libre 



Le château de Ponteau

 

Martigues :

Le château de Ponteau, un joyau en ruines



 

On ne vous dira pas où il se trouve. Un secret c'est un secret (et puis l'accès à la ruine est interdit avec le risque d'effondrements). Mais on peut déjà vous décrire ce mystérieux château abandonné.

Cette bastide fortifiée, juste devant la voie ferrée, avec vue mer, n'est plus habitée depuis les années 1960. Depuis elle a été rachetée par un industriel du site pétrochimique de Lavéra, et est rapidement tombée en ruine. Triste sort pour ce joyau d'histoire.

La bastide, datée de la fin de l'époque médiévale, était sur un terrain agricole et pastoral de 180 hectares, qui appartenait à l'abbaye de Montmajour (Arles). "Le terrain a été exploité jusqu'à la révolution pour ses salines", explique l'archéologue Jean Chausserie-Laprée.

Cette maison, qui était somme toute ordinaire au Moyen Âge, s'est ensuite embourgeoisée au XVIIIe siècle raconte Sophie Bertran de Balanda, ex-architecte qui a connu ce château encore habité par ses cousins quand elle était enfant.

Sous ce "château de Ponteau" comme on l'appelle, avec son étage et ses murs qui ne cessent de tomber au fil du temps, se cache une immense salle voûtée, quasiment intacte. Et au fond de cette pièce, quatre petites marches mènent à une sorte de crypte dans laquelle une petite tombe a été creusée dans la roche. Des secrets, cette bastide en recèle tout un tas qui ne seront peut-être jamais dévoilés...

 

 

 

Le Parc marin de la Côte bleue rappelle les règles

 

Pêche, mouillage... Le Parc marin de la Côte bleue rappelle les règles

Pêche, mouillage et préservation de l'environnement mode d'emploi

Par Raphaele Mincone


Il est possible de plonger avec un masque et un tuba

Dans les deux réserves marines.

PHOTO DR

 

Dans la calanque de Figuières, à Ensuès, un touriste tout content sort de son bain de mer avec un petit poulpe enroulé autour de son épaule. Les cousins, tantes, frères et sœurs accourent pour prendre des photos souvenirs... Avant qu'ils en fassent leur dîner. Si dans le Parc national des calanques, à quelques kilomètres de là, il est strictement interdit de pêcher des poulpes l'été, "il n'y a aucune réglementation sur la Côte bleue, indique Marie Bravo-Morin du Parc marin de la Côte bleue. Après c'est une question de bon sens. Un poulpe a une durée de vie de 1 à 3 ans, et ne peut se reproduire qu'une fois donc si on prend un poulpe trop petit, il ne se sera pas reproduit". Et si en Atlantique, l'invertébré peut être pêché à partir de 750 grammes environ, "en Méditerranée, on n'a pas de maille, à part dans les parcs nationaux où on a un nombre et une taille minimum. Mais au Parc marin de la Côte bleue, on n'a pas les mêmes moyens que le Parc national des calanques. On n'est pas du tout sur la même catégorie", se désole la plongeuse.

Le Parc marin de la Côte bleue est une structure "très atypique. On est un syndicat mixte avec communes, Département et Région et en membre associé on a la pêche professionnelle". Pour ce littoral, qui s'étend sur 19 000 hectares, du Rove à Carro, seulement 3 % sont protégés dans deux réserves, celle du Cap Rousset à Carry (85 ha) et celle du Cap Couronne à Martigues (210 ha). "Pour devenir Parc national, il faut atteindre les 10 %", explique Marie Bravo-Morin. Face aux dernières actualités, avec des pêches illégales de thon rouge ou encore des pêcheurs au harpon hors-la-loi en plein cœur de la réserve marine, c'est l'occasion pour le Parc Marin de rappeler quelques règles.

Dans les zones marines protégées de la Côte bleue, les prélèvements sont interdits aussi bien pour les professionnels que les particuliers. Il est interdit d'y faire de la plongée en bouteille et encore moins de poser une ancre de mouillage. "Il ne faut même pas retourner les pierres pour attirer les poissons, souvent on détruit ce qu'il y a sur la pierre, où de la faune, qui aime la lumière ou ne l'aime pas, s'est fixée", souligne Marie Bravo-Morin. S'il y a bien une chose sur laquelle insiste la plongeuse, c'est de prendre le temps de lire les panneaux. "Il y en a une trentaine partout à Carry, aux abords de la réserve", au niveau de la plage du Rouet.

Pour ce qui est de la navigation dans ces zones, c'est la même règle qu'ailleurs, la vitesse doit être réduite en dessous de 5 nœuds dans les 300 mètres, balisés ou non.

Ces réserves marines sont quotidiennement surveillées, de jour comme de nuit, par les gardes du Parc marin. "On est à 2 000, 2 500 heures de surveillance par an sur le territoire, à terre et en mer", indique le Parc marin. Mais outre ces deux zones extrêmement protégées sur la Côte bleue, même en dehors, une réglementation existe, notamment pour la pêche (lire ci-dessous), mais aussi le mouillage. "Il est interdit de poser une ancre dans un herbier de posidonie, les zones claires sont à privilégier", surtout quand on sait qu'une ancre dans ces algues endémiques de Méditerranée, est un délit qui peut être puni de trois ans d'emprisonnement et 150 000 € d'amende.

Surveillance Parc marin de la Côte bleue 06 87 23 02 21.

 

·   23/08/2021 À 07H15

Le chimiste Kem One sur le point d'être vendu

  • 01:14


Le groupe chimique Kem One, fabriquant de PVC, présent chez nous sur la plateforme de Lavéra et à Fos, serait sur le point d'être vendu à un fonds d'investissement américain baptisé Apollo. Plus de six-cent salariés sont concernés chez nous par cette opération financière qui devrait se finaliser très rapidement. C'est ce que confirment plusieurs sources notamment syndicales

L'actuel propriétaire de Kem One, Alain de Krassny, qui avait racheté le chimiste suite à son redressement judiciaire en 2013, veut vendre ses usines à Apollo. Un nom connu chez nous puisque le fonds d'investissement a eu des actifs chez Ascométal ou encore Lyondellbasell à Berre.

Les salariés ont eu connaissance du projet de vente lors d'un CSE, et par mail, au début de l'été. Plusieurs questions se posent, notamment sur la pérennité industrielle de l'entreprise. Fos et Lavéra sont des sites en bonne santé aujourd'hui, qui ont déjà bénéficié de gros investissements. Mais Fos attend encore 100 millions d'euros pour convertir son électrolyse et le site de Saint Fons, au sud de Lyon, aussi. Avec Apollo, les syndicats craignent que le groupe soit découpé pour mieux être revendu ensuite.

De son côté la direction de Kem One ne confirme pas la vente et souhaite n'apporter aucun commentaire.

Plages des Laurons