mardi 4 novembre 2025

le champion de para surf Éric Dargent veut se lancer dans le Sport-santé à Martigues

 

Après la compétition, le champion de para surf

Éric Dargent veut se lancer dans le

Sport-santé à Martigues

 

Le Martégal Éric Dargent, licencié du Lou Martegue Surf Club, récemment sacré champion d'Europe, veut passer le BP Jeps Surf. Est champion de para surf.

Champion de France et d'Europe, le Martégal, en lice pour le championnat du monde, va passer ses diplômes d'éducateur sportif.

Le Martégal Éric Dargent du Lou Martegue Surf Club, qui réside aux Laurons, vient de remporter cette dernière semaine d’octobre les championnats d’Europe en Galice (Espagne) et de France à Hossegor (Landes) en para surf.

 

Éric Dargent est devenu champion d'Europe de parasurf fin octobre 2025. / Photo DR

Il est rentré ce mardi à Martigues avant de repartir jeudi pour la Californie où il sera en compétition avec l’équipe de France pour le titre de champions du monde.

Retracez-nous votre parcours de surfer jusqu’à ce jour où vous avez obtenu ces titres prestigieux

J’ai appris à surfer à Martigues et je suis passionné depuis tout petit. Je suis infirmier et j’ai voulu aussi consacrer du temps à pratiquer mon sport favori. En 2011 j’ai subi une attaque de requin, sur l’île de La Réunion. J’ai dû avoir une amputation fémorale. Dès que possible j’ai repris le surf avec une prothèse, avec un genou que j’utilise en compétition. Après l’accident on a créé l’association Surfer Dargent dont je suis président.

Le surf est devenu pour moi une thérapie et j’ai commencé la compétition tout en ayant à cœur de faire avancer la qualité des prothèses, jusqu’à devenir sportif de haut niveau et parallèlement à ma vie de famille. J’ai 2 enfants.

Qu’est-ce qui a changé aujourd’hui depuis plus de 10 ans dans le parasurf ?

En 2015, le parasurf n’existait pas en compétition. La Fédération française de surf l’a fait évoluer. Maintenant il y a beaucoup de stages, beaucoup de catégories (assis, couché, agenouillé, avec déficience en haut ou en bas du corps, avec une déficience visuelle totale ou partielle). L’équipe de France est soudée et performante et en 2024 il y a eu les championnats de France par équipes.

L’accessibilité aux prothèses est toujours compliquée car le coût est très élevé pour l’appareillage, auquel il faut ajouter les frais pour la compétition (pour se déplacer, se loger). On trouve néanmoins des sponsors pour nous aider. Moi-même étant reconnu comme sportif de haut niveau par le ministère des Sports, ça me donne accès à des formations pour valoriser les acquits et les projets.

Justement je crois que vous avez de beaux projets, non ?

Je suis infirmier libéral sur Martigues et Port-de-Bouc et j’aimerais créer un centre de sport-santé basé sur le surf et le paddle, pour des personnes qui ont des pathologies et qui recherchent le bien-être. Ce sera aux Laurons.

Dans ce lieu rêvé où moi-même je trouve mon équilibre près de la mer. Je vais aussi passer un examen à mon retour des championnats du monde en Californie. Le 12, juste après les championnats qui se déroulent du 2 au 7 novembre, je passerai le BP Jeps Surf.

Le 30 octobre, Éric Dargent s'est envolé pour Los Angeles, comme les 18 athlètes français. Il a été 4 fois vice-champion du monde mais il espère décrocher le titre et le ramener au club de surf.

 

lundi 3 novembre 2025

communiqué edf



 

Je vous informe que notre 2e réunion d’information 2025 des riverains, aura lieu le

JEUDI 20 NOVEMBRE à 17h30 à la VILLA LOTTI du CCG.


Au programme,

Rencontre avec Nicolas Petry, le directeur, pour celles et ceux qui ne l’ont pas encore rencontré,

Actualités du CCG et évènements à venir.

 

Merci de vous inscrire via ce lien : Réunion d'information - Remplir le formulaire

Au plaisir de se retrouver pour un moment convivial, propice aux échanges !

 


La mise au point du directeur de l'hôpital de Martigues

 

Martigues Santé

La mise au point du directeur de l'hôpital de Martigues

Sur le rapport de la Chambre régionale des comptes

Par Rémy Reponty

Après la publication du rapport de la Chambre régionale des comptes sur le Centre Hospitalier de Martigues, pointant des difficultés financières et des irrégularités de rémunération, le directeur, Loïc Mondoloni, souhaite répondre publiquement et rassurer le personnel comme les patients.

Le dernier rapport de la Chambre régionale des comptes se base-t-il sur un projet qui n'est plus d'actualité ?

Loïc Mondoloni

Un rapport de la Chambre régionale des comptes ne porte pas sur un projet. Un rapport de chambre régionale des comptes porte sur une période de gestion qui, en l'occurrence, était la période 2019-2023, c'est à dire cinq années durant lesquelles beaucoup de choses se sont passées. Il y a eu le COVID, des directeurs se sont succédé, des équipes médicales aussi ont changé au sein de l'établissement. Donc, beaucoup d'événements qui se sont réalisés et qui ont été remis en perspective par les magistrats.

Et donc, à présent, le projet est différent, il a évolué ?

L.M.

S'il s'agit d'évoquer la question du projet immobilier, il y en a eu un qui a été effectivement déposé auprès des services de l'Agence régionale de santé par l'établissement en 2019, qui portait sur la modernisation hôtelière, les chambres à un lit, la réhabilitation du bloc opératoire et le transfert des secteurs logistiques et du stationnement sur le terrain du collège Marcel Pagnol.

Depuis lors, beaucoup de choses ont changé. Le terrain du collège Marcel Pagnol, à priori, on ne devrait pas en avoir la disponibilité avant 2029 - 2030. Le bloc opératoire ne peut pas être réhabilité tel qu'il est aujourd'hui. Et surtout, nous avons des urgences qui sont aussi sous dimensionnées, qu'il faut pouvoir reconstruire intégralement. Il a fallu donc rediscuter les contours d'un premier projet, ce qui a nécessité une grosse mobilisation des équipes médicales pour s'accorder sur la façon dont l'hôpital doit évoluer

Et puis, l'environnement de l'hôpital évolue et les perspectives d'avenir ne sont plus les mêmes qu'il y a quelques années.

L.M.

L’Environnement évolue beaucoup. Trois éléments que je pourrais citer à ce niveau-là. Le premier, ce sont les problématiques d'accès aux soins que nous pouvons connaître aujourd'hui comme : de moins en moins de médecins traitants, de médecins généralistes... C'est ce qui fait que l'hôpital bénéficie d'une forme d'attractivité qui est heureuse par certains côtés et de l'autre qui le conduit aussi à répondre à des besoins de santé qui sont croissants pour des populations qui cherchent à être soignées. Il faut donc que l'hôpital de Martigues soit au rendez-vous.

Le deuxième élément qui a dû être pris en compte, c'est la fermeture de l'activité de chirurgie de la clinique de l'Olivier à Istres, en 2023, et qui a fait que nous avons davantage d'urgences chirurgicales à prendre en charge la nuit et les week-ends en particulier. Donc, l'impact sur le nombre de lits et le nombre d'interventions que nous réalisons.

Et puis le troisième point qui n'est pas des moindres, c'est le développement industriel du golfe de Fos-sur-Mer, puisque l'arrivée potentielle de dix mille salariés et de leurs familles est un facteur extrêmement important à prendre en compte pour savoir jusqu'à quel point l'hôpital doit évoluer.

 (Interview, images et montage : Rémy Reponty pour Maritima Médias.)

Qu'est-ce que vous dites aujourd'hui à la Chambre régionale des comptes ?

L.M.

Je dis à la Chambre régionale des comptes, tout d'abord, bien sûr, il y a un rapport qui est produit, que je dois prendre en considération, puisque c'est une période de gestion, et les comptes ne mentent pas. Donc, ça, c'est un élément qui est à prendre en considération de façon significative. Quand il y a une remarque qui porte sur les hésitations qui ont été celles de l'établissement pour savoir quel était le projet immobilier adapté qu'il fallait proposer aux services de l'ARS, ce travail a été fait. Pour savoir si, effectivement, le projet est viable économiquement, s’il permettait d’améliorer la situation financière de l’hôpital, nous y avons travaillé au cours de l’année 2025 et le rapport serait déjà produit. Et enfin, bien entendu que chacun est très attentif à la bonne utilisation des deniers publics. Si un projet immobilier a plusieurs dizaines de millions d'euros est validé, il s'agira bien entendu d'améliorer la situation budgétaire et financière de l'hôpital.

 

 

 

Sur l'immobilier, vous allez devoir faire des choix ?

 

L.M.

Nous avons fait des choix puisqu'en fait plusieurs projets pouvaient s'envisager. Nous pouvions envisager un projet permettant d'avoir un bâtiment comprenant un ensemble de secteurs de consultation. Nous pouvions rester sur le projet initial qui était d'avoir des chambres à un lit, ce qui aurait posé une question de dimensionnement, par ailleurs, du plateau technique. Ou avoir un projet permettant de reconstruire nos urgences, notre bloc opératoire et nos soins critiques.

Nous avons associé toute la communauté médicale de l'hôpital pour savoir quelle était la meilleure option à court terme pour avoir un projet qui permette à notre hôpital d'évoluer. C'est l'option permettant d'avoir un bâtiment médico-technique, des nouvelles urgences, un nouveau bloc opératoire et une réanimation et des soins intensifs qui soient dans des secteurs aux normes et adaptées. Ce projet-là a été privilégié parce qu'il répond aux besoins de la population, au développement industriel et aux possibilités, ensuite, de maintenir le nombre de lits et places au sein de l'établissement.

C'est ce projet qui a été proposé à l'ARS en décembre 2024, qui nous a donné un avis favorable. Ce qui veut dire que derrière, nous pouvions envisager de le poursuivre pour l'approfondir et avoir une trajectoire économique que nous pouvions travailler et à partir de là, l'arrêter. Et le dernier projet a été présenté le mois dernier pour avoir, nous l'espérons, une décision d'ici la fin de cette année 2025.

Donc, en fait, ce rapport de la Chambre régionale des comptes, il a un train de retard. Est ce qu'il est nul et non avenu aujourd'hui ?

L.M.

Un rapport de la Chambre régionale des comptes. c'est une photographie sur une période donnée d'une situation économique et financière dans un hôpital. Il y a un certain nombre de mesures ou d'éléments qui sont indiqués dans le rapport sur des problématiques de réglementation, de gestion budgétaire et financière, de soutenabilité de certains projets d'investissement qui sont encore d'actualité aujourd'hui et qui continueront à l'être demain.

Cela nous permet aussi d'asseoir la stratégie de l'établissement. Ensuite, ce n'est pas parce qu'il y a eu un rapport de la Chambre régionale des comptes que, d'ores et déjà, des choses n'étaient pas enclenchées au sein de l'établissement, notamment en termes de retour à la réglementation sur les rémunérations et les statuts. Et, et heureusement d'ailleurs, il y a une vie après les rapports de la Chambre régionale des comptes qui, une fois encore, portait sur la période 2019-2023. Nous sommes quasiment à la fin de l'année 2025.

 

 

 

Et puis, vous avez obtenu une certification. Vous pouvez préciser, s'il vous plaît ?

L.M.


La certification de la Haute Autorité de santé. C'est une démarche qui a lieu au sein des établissements de santé tous les 4 à 5 ans. Et en fait, cette démarche, elle a vocation à évaluer la qualité des soins qui sont dispensés dans un hôpital. Notre établissement a été certifié en avril 2024 avec une qualité des soins qui est confirmée. Ce qui veut donc dire qu'au-delà de toutes les problématiques de locaux, d'organisation, de gestion du quotidien... un patient qui est pris en charge à l'hôpital de Martigues, est pris en charge par des professionnels de très grande qualité et qui pratiquent des soins de très grande qualité, avec un grand professionnalisme aussi. Et ça, c'est important de pouvoir le rappeler.

Loïc Mondoloni, le directeur du Centre Hospitalier de Martigues, dans son bureau, ce vendredi 31 octobre 2025. - Photo : ©Fred Munos.

Quand l'hôpital va-t-il évoluer, changer ?

L.M.

L’Hôpital change déjà. En fait, on se focalise beaucoup sur le site des Rayettes, mais je tiens préalablement à rappeler que nous avons le site du Vallon, avec à l'intérieur des services de gériatrie et de psychiatrie, qui est en pleine transformation puisqu'à la fin de cette année 2025, tous les secteurs de gériatrie du Vallon seront intégralement rénovés. Et, les services de psychiatrie ont leurs travaux qui commencent en ce moment, pour que la totalité des unités soient intégralement réhabilitées et ouvertes au début de l'année 2027.

Nous engageons quand même plus de 8 millions d'euros pour une rénovation complète du site du Vallon. C'est donc dire qu'on est quand même dans un hôpital qui investit de la même façon qu'au cours des années 2022 - 2023. Nous avons refait tout le plateau technique d'imagerie, nous avons eu un deuxième scanner et tous ces projets-là ont pu être réalisés avec la participation de l'Agence régionale de santé, du Conseil régional et de la ville de Martigues.

Maintenant, pour le site des Rayettes, si l'opération est validée, cela permettra d'engager les travaux de façon concrète en 2029 pour une durée approximative de deux ans, pour la partie construite, et un an de plus pour une petite partie qui serait encore réhabilitée.

Validation par l'ARS. On a une date ?

L.M.

Nous avons déposé un dossier le 17 octobre exactement. Ensuite, il y a une instance de l'ARS qui doit se réunir pour évaluer, savoir si effectivement les critères de soutenabilité financière et économique sont remplis. Donc il y aura peut-être des allers et retours mais l'objectif ce serait que, nous l'espérons, nous ayons une validation en fin d'année 2025.

Qu'en est il de ces rémunérations qui sont pointées du doigt par la Chambre régionale des comptes ?

L.M.

Dans le rapport de la Chambre régionale des comptes des éléments de rémunération qui ont été versés, alors, jamais pour contourner la bonne utilisation des deniers publics, mais essentiellement pour pouvoir avoir des possibilités d'attractivité à des instants précis et dans certaines spécialités médicales, lorsqu'on était en difficulté ou pendant la période du COVID. La plupart de ces éléments de rémunération ont cessé en 2022 et 2023, à tel point que nous avons, en plus du rapport de la Chambre régionale des comptes, reçu une lettre de la Cour des comptes, datée du 8 octobre 2025, qui considère que le phénomène conjoncturel qui a conduit à ces irrégularités potentielles et à la décision de la part de la direction actuelle d'avoir arrêté ces irrégularités permettent de classer l'affaire définitivement et de n'engager la responsabilité de personne, ni même de demander de remboursement à qui que ce soit.



Concert Renaud

 Concert Renaud

Le samedi 15 novembre 17h00, chapelle de Lavéra.

10 euros l’entrée.




COMPTE RENDU REUNION DE BUREAU

                                                                                                                              

                                               

 

COMPTE RENDU REUNION DE BUREAU

N° 5 du 22 octobre 2025  

 
  

                  Association des riverains

         de la Plateforme industrielle de Lavéra

                     ARPIL

             7 Associations-3 CIQ-Collectif 13                                                                     CorriC

                   Commerçants-Particuliers

        9 Boulevard des Tamaris 13117 LAVERA

        04 42 81 19 48.   arpil.legrand@orange.fr                                             

 

 

 

 

Présents T. Beaumian, G. Bergeron, R. Deboom,  C. Giraud, C. Legrand, R. Pastor, R. Roumieu, M. Ventre Excusé : F. Ablin.

Objet de la réunion : Actions à engager suite aux réunions ; de la Métropole/URBANIS  du 30/9/25 et de la réunion publique du 7/10/ 2025

Début de la réunion 18 H 00.

Sélection des propositions prioritaires de l’ordre du jour

1 Prêt à taux zéro,

2 Demande de CR de réunion.

3  Financement de la Convention.   

4 Préparation d’une AGE pour informer les riverains.

5 Propriétaires qui désirent faire les travaux.

6 Divers

1 Prêt à taux zéro.

C ; Legrand indique qu’il est inadmissible que l’on ne puisse pas obtenir ce crédit, alors qu’il est confirmé dans les courriers des 20/4/2022 et 14/9/2022 de la SP d’Istres et du 2/10/2023 du Préfet.

ME va contacter la municipalité pour savoir où en est l’avancement de la recherche d’un établissement financier qui ne demande pas de caution. Peut être « les opérateurs de logement travaillant habituellement avec l’ANAH » ?

M. E. va demander à F. A. de rédiger un courrier à adresser au Préfet (ou SP) avec copie au maire de Martigues, à la DDTM et à la Métropole, pour lui rappeler ses engagements, avec en PJ les copies des lettres des 20/4/22, 14/9/22 et 2/10/23. Pour mémoire le crédit à taux zéro est clairement précisé dans la présentation faite lors de la réunion publique du 22/2/2022.

Il faut définir ce que l’on va mettre dans le corps de cette lettre : Peut être que certains riverains ne pourront pas faire l’avance et qu’ils ne feront pas les travaux ? Faites des propositions complémentaires.

M. E propose de prendre rendez vous avec la journaliste pour parler du prêt et de la mise en danger de nos vies.

RR lui répond que c’est à lui à la contacter en fonction de ses disponibilités, mais qu’il faut avant de la recevoir faire une liste claire de nos doléances afin de ne pas être confus lors de la présentation et qu’elle puisse rédiger un article compréhensible pour tout le monde. Faites des propositions. RR peut participer avec le concours d’au moins un volontaire, signalez-vous.

2 Demande de CR de réunions

On participe à des réunions, mais les CR ne sont pas diffusés, on ne sait pas si nos demandes sont prises en compte il faut les réclamer.

M. E. va demander, dans un premier temps par mail, le CR de la réunion du 17/9/25 à la SP d’Istres, celui de la Mairie/Métropole du 30/9/25 et celui de la réunion publique du 7/10/25, à la DDTM pour définir le contenu du diaporama de notre l’AGE. Richard peux tu donner les adresses mail correspondantes à Maxime.

3 Financement de la Convention.

Lors de la réunion publique du 7/10/25, URBANIS a présenté une vue concernant le financement, de la Convention, on peut y lire :

Avance 30% Compte bancaire de l’entreprise retenue pour les travaux

Solde (hors crédit d’impôt) Compte bancaire du propriétaire OU DE L’ENTREPRISE

Ce qui signifie, que si on le demande, cette somme sera directement payée à l’entrepris sans passer par notre compte bancaire, on n’aura plus besoin d’avancer cette somme pendant plus d’un mois. (Voir annexe)

4 Programmation d’une AGE d’information

Il faut beaucoup de temps pour organiser une AGE : Retour d’expérience, environ 1 mois

Créer un diaporama : définir le nombre de vues, le contenu des vues. Rédiger la gazette, faire les tirages, les distribuer dans les boîtes à lettres (Est-ce utile ?) Il est nécessaire de faire plusieurs réunions restreintes ; ME, CL, FA RD et RR. (Le secrétaire rappelle qu’il ne peut pas prendre tout le travail de l’ancien président en plus du secrétariat).

Propriétaires qui désirent réaliser les travaux, même sans prêt à taux zéro.

URBANIS fait le forcing pour que nous acceptions de faire les travaux sans le prêt à taux zéro, sans toutefois de prendre en compte la projection des fenêtres dans la pièce, ce qui est parfaitement anormal

Il nous indique qu’au PPRT de Puget sur Argent, sur 160 maisons impactées, 100 environ avaient fait l’avance du prêt à taux zéro et que c’était un bon résultat, il se contentera du même pourcentage pour Lavéra, ce qui risque d’arriver.

Il nous a demandé si nous avions contacté les riverains pour savoir le pourcentage de riverains qui désirent faire les travaux

Il a suggéré qu’ARPIL demande aux industriels de se porter caution.

Il a dit qu’en cas de non-conformité lors de la réception des travaux c’est URBANIS qui résout le problème avec l’entreprise et non le propriétaire.

RR : A qui s’adresser en cas de désaccord avec le prestataire, il a répondu : pourquoi ? RR répond par ce que vous ne prenez pas en compte la projection des fenêtres.

R. Pastor indique qu’au Val Caronte beaucoup de propriétaires veulent faire les travaux, pour deux raisons : profiter des conditions de financement et ne pas réduire la valeur vénale de leur maison

Divers

RR déclare que lors de la réunion du 30/9, J.M. Villanueva a demandé à ce qu’on lui transmette une liste de nos doléances, on a répondu oui.

C. L dit que ce n’est pas à nous de faire le CR pour la ville de Martigues

R. R répond que l’on ne va pas faire le CR à la place de la Mairie, mais simplement faire une liste des questions restées sans réponse lors de cette réunion, ce qui permettrait de mettre en évidence le refus de la Métropole de prendre en compte nos demandes. Il est important de faire cette liste, afin qu’elle soit incorporée dans le CR, car si on ne la fait pas, on est sur que ce n’est pas la mairie qui va le faire. Joindre la déclaration faite à la SP. (RR et TB pourraient s’en charger)

Prévoir l’AG 2025 début février 2026, mêmes contraintes que pour l’AGE

Contacts URBANIS

Un numéro de téléphone dédié au PPRT de Lavéra : 06 99 19 16 68

Une adresse mail dédiée : pprtlavera@urbanis.fr

Des permanences physiques : Mairie annexe LAVERA

 2ième et 4ième mercredi de chaque mois de 9 H 30 à 12 H 00 et 13 H 30 à 17 H 00.

Des plaquettes d’informations à disposition

Un site Internet : https://sites.google.com/urbanis.fr/pprturbanis-amp/pprt-lavera

 

                                                                                               Fin de  la réunion 20 H 00

 

Le secrétaire R. R.


ANNEXE

FINANCEMENT DE LA CONVENTION SANS AVOIR LE PRÊT A TAUX ZERO AU 7/10/25

 

Pour une ESTIMATION des travaux de 20 000 €, sans le prêt à taux zéro

Participation de la Métropole : 60 %, soit 20 000 X 60% = 12 000  *

Participation du propriétaire : 40 % soit 20 000 X 40 % = 8 000

Pour passer commande la Métropole verse à l’artisan une avance de 30 % de la totalité du devis,

Soit 20 000 X 30 % = 6 000  **

 

En fin de travaux, pour  avoir une facture acquittée :

Le propriétaire paie la totalité de sa participation à l’entreprise soit 8 000,

            La Métropole paie, la quote-part  restante de sa participation à l’entreprise

 12 000 * –  6 000 **  (avance déjà payée à l’entreprise) = 6 000 °.

En résumé le propriétaire fait une avance de  8 000 € pendant plus d’un an.

L’année suivante (N+1)  sur la déclaration d’impôts il faudra mettre le montant de la facture acquittée à la rubrique « crédit d’impôts PPRT », il nous sera remboursé en septembre la somme de 8 000 €

 

 

 


Plages des Laurons