jeudi 16 octobre 2025

Le corps d'une femme découvert

 Le corps d'une femme découvert ce mercredi matin

Dans le canal de Caronte à Martigues

Par Stéphane Rossi

Publié le 15/10/25 à 16 :02 -

Le corps a été retrouvé sous le pont ferroviaire de Caronte.

Le corps a été retrouvé sous le pont ferroviaire de Caronte.

Photo Serge GUEROULT

Il pourrait s'agir d'une femme disparue il y a quelques jours. C'est un pêcheur qui a fait la macabre découverte, dans le canal de Caronte ce mercredi matin.

C'est une découverte macabre qu'a faite, ce mercredi 15 octobre au matin, un pêcheur du canal de Caronte à Martigues. Il a aperçu, à proximité du pont ferroviaire, un corps humain qui flottait dans une zone de peu de profondeur. L'homme a contacté les secours qui n'ont pu effectivement, que constater qu'il s'agissait malheureusement bien d'une personne, une femme en l'occurrence, et qu'elle était décédée.

On ignore, pour le moment, les circonstances de ce décès mais, selon nos informations, un lien serait fait avec la disparition d'une septuagénaire survenue le 7 octobre dernier. Celle-ci, qui portait un haut léopard, avait fait l'objet d'une fiche de recherches de la famille, information relayée par La Provence. Elle avait été vue la dernière fois le mardi 7 octobre près du lycée Langevin.

Décrite comme "une femme de forte corpulence, souffrant de problèmes de cholestérol et de tension, mais qui marche beaucoup" selon sa fille, la septuagénaire "était suivie pour dépression depuis plusieurs années". "Elle a connu des périodes très sombres, surtout depuis le décès de ma grand-mère en 2014, puis celui de mon père. À chaque drame, elle replongeait. Ces dernières semaines, elle repartait dans une mauvaise phase," expliquait sa fille à La Provence. Selon elle, elle "pourrait avoir cherché à revenir sur des lieux marquants de son passé" à Martigues, alors qu'elle habitait Marignane. 

 

Compte rendu Réunion du 10/10/2025

 



Réunion du 10/10/2025
Préparation à la réunion conseil de quartier (St-Pierre)

04/11/2025 St-Pierre à 18 h 00


Les responsables d’association de notre quartier étaient conviés à une pré-réunion afin d’aborder les différents sujets qui préoccupent nos adhérents.
Tout d’abord, nous demandons que le conseil de quartier soit spécifique et non regroupé car il nous est apparu qu’il était impossible d’aborder correctement les différents sujets qui nous concernent .
Les habitants des Laurons souhaitent parler de leur quartier et aborder les différents points à traiter avec des réponses claires.
Pas de changement proposé pour l’instant malgré notre avertissement du désintérêt croissant de ce type de réunion par les habitants concernés.
Transport.
Demande d’information sur l’aménagement de notre ligne de bus avec modification de certaines plages horaires ( plus tôt le matin et plus tard le soir)
Une demande est en cours auprès du SCOT (schéma de cohérence territoriale)
Stationnement période estivale et interdictions diverses.
Comme chaque année, le stationnement anarchique est un problème dans le quartier et la plupart des habitants ne voient que très rarement l’intervention de la police afin de faire respecter les règles. Beaucoup de panneaux d’interdictions implantés mais très peu respectés.
– Barbecue.
– Scooter de mer.
– Motocross.
La mairie devrait nous transmettre le nombre de verbalisation effectuées dans le quartier cet été.
Industrie
Nous constatons que les incidents sur les différents sites industriels deviennent malheureusement de plus en plus réguliers et cela sans un complément d’information de la part de la municipalité. Nous souhaitons savoir si la mairie est informée par les industriels implantés sur la commune de leurs activités et des événements liés à leur activité.
Voie verte
Avoir une voie verte est un plus, encore faut-il qu'elle soit entretenue (nettoyage)
Certaines portions obligent les cyclistes à emprunter la route par manque d’accessibilité.
Ramassage des ordures
La collecte des déchets reste aléatoire pour beaucoup de foyers. Quelles sont les causes ?
La réponse, nous l’avons eue par un éboueur qui nous a informé que cela pouvait arriver en cas de manque de personnel ,cela les obligeant à modifier certaines tournées.
Réseau de distribution d’eau.
Il est demandé à la mairie des informations sur les réseaux de distribution d’eau car des habitants constatent une eau trouble à leur domicile et s’inquiètent du bon fonctionnement des bornes à incendie en bout de réseau.


mardi 7 octobre 2025

compte rendu reunioin du ciq du 02/10/2025

 AG CIQ le 21 novembre 18 h 00

Maison de Saint-Pierre 
Affiches, flyers et convocations à suivre 

 

Ce jeudi 2 octobre, toujours une bonne affluence pour cette réunion mensuelle.

   Compte rendu de la réunion.

v La réunion prévue le 10 octobre à 17 h 30 à la maison des Laurons par la mairie en préparation du conseil de quartier a suscité beaucoup de commentaires et a constitué le sujet essentiel de la soirée.

 

Ø Ci-dessous en désordre, voilà ce qui a été évoqué.

 

1. Le conseil de quartier commun avec Saint-Pierre ne plaît toujours pas. Les demandes argumentées pour rétablir un conseil dédié aux Laurons ont été nombreuses et sont restées infructueuses. La création en 1993 du 23ᵉ conseil de quartier a bien été abandonnée.

2. Un débat s’est ouvert autour des relations que nous entretenons avec la mairie. Ainsi il a été dit que l’exercice de la démocratie participative ne fonctionnait pas.
   Les riverains n’y croient plus. En 30 ans, tous les débats qui ont pu être menés se sont soldés par des décisions unilatérales ou pas de décision du tout.
Sont restés en suspens 

·        La finalisation de l’aménagement de l’entrée du quartier, objet d’une commission. 

·        La rencontre prévue pour l’optimisation du transport collectif (après la construction de la gare routière !) avec l’aménagement de l’arrêt bus/élèves en face de la plage.

·        La demande d’une commission de circulation pour traiter des dangers de la route depuis Martigues.

·        Le nettoyage de la « montée de Lavera » (pointé aussi dans le CSS du vallon du fou)
-

·        Le rappel à la loi concernant tous les interdits en place. ( liste importante concernant la plage le port, les routes, le stationnement, les ordures, les scooters de mer, les camping-cars…)

·        Les explications concernant les dernières évolutions des PPRT et autres PPRIF

·        Les résultats des pollutions industrielles et les actions de la mairie.

·        Les informations concernant le prolongement de la voie verte.
- Les derniers projets industriels.
- La présence d’une zone d’activité à l’entrée du quartier.

·        Et enfin, la liste n’est pas exhaustive, la signification de nouveaux panneaux indiquant 
« Danger site industriel » : quid des mesures à prendre, et quels dangers ?


Que tous ceux qui sont disponibles 

Ce vendredi 10 octobre à 17 h 30

viennent pour choisir avec la mairie le traitement de 2 ou 3 points choisi par cette assemblée.

 

v Nous sommes encore nombreux à espérer un meilleur avenir pour la concertation démocratique et constructive.

 

  La réunion s’est poursuivie avec les préparatifs.

Du Noël des enfants prévu avec la SNL

Le samedi 13 décembre.

  La possibilité de faire un loto en décembre ou début janvier a été évoquée. Mais nous n’avons toujours trouvé de bénévoles pour reprendre la suite des animateurs des années précédentes.

  

Prochaine réunion le jeudi 6 novembre 2025

Maison des Laurons 17 h 30

  Ordre du jour :

Ø Préparation AG

Ø Noël

Ø Loto

Ø Fête des coquillages.

 

Secrétaire CIQ 

 

Claude Darras dédicacera deux nouveaux ouvrages

 

Claude Darras dédicacera deux nouveaux ouvrages au salon du livre de Saint-Victoret, dont la biographie du maire.

 


L’écrivain et journaliste Claude Darras 
comptera parmi la centaine d’auteurs accueillis. 
le dimanche 12 octobre 2025 
au complexe sportif Michel Hidalgo de Saint-Victoret 
à l’occasion du 25e salon du livre de cette ville. 
Il y dédicacera deux nouveaux ouvrages, « Le Destin bâtisseur de Claude Piccirillo - Un maire pas comme les autres à Saint-Victoret », publié en juin dernier par les éditions Maïa à Paris, et « Quelles drôles d’histoires ! - 200 histoires incroyables, inattendues et loufoques » à l’enseigne des éditions Complicités à Paris également.

Critique d’art et de littérature, universitaire et enseignant-expert à la Commission européenne, l’auteur s’est attaché à suivre le premier magistrat de Saint-Victoret durant près de deux années. Ouvrier fraiseur à dix-sept ans à l’usine Sud Aviation de Marignane, Claude Piccirillo est devenu en fin de carrière l’adjoint au chef des ressources humaines de la production de l’entreprise Eurocopter. Président de la commission des ports de la communauté urbaine Marseille Provence Métropole durant vingt-cinq ans, il s’est trouvé au cœur d’une affaire rocambolesque avec en point de mire le Rainbow Warrior II de l’organisation non gouvernementale Greenpeace. Parmi les équipements remarquables de ses cinq mandats électifs, le théâtre l’Odéon apparaît comme une réussite inégalée dans le domaine du spectacle.

Passionné par les travaux des lexicographes et des encyclopédistes, l’auteur, signataire d’une vingtaine d’ouvrages, s’est plu à faire partager son inclination dans tous les domaines de l’« écrit » journalistique, prolongeant notamment la rédaction de ses billets d’humeur dans la presse de 1970 à 2008 de chroniques diffusées dès 2012 à la fois dans des revues littéraires et au micro d’une station radiophonique (Soleil FM). Dans son livre « Quelles drôles d’histoires ! », le lecteur apprend ainsi que Churchill, Roosevelt et Staline, les signataires de l’accord de Yalta étaient tatoués comme des phoques, que l’écrivain Paul Léautaud avait recueilli plus de 300 chats dans sa maison de Fontenay-aux-Roses, que les Mayas ont conçu le chewing-gum, que l’inventeur du courrier électronique élevait aussi des moutons nains et que le président Emmanuel Macron compte le roi des Francs Hugues Capet parmi ses ascendants.

 

-         25e salon du livre de Saint-Victoret, complexe sportif Michel Hidalgo, 13, boulevard Charles de Gaulle, dimanche 12 octobre 2025, de 9 à 18 heures, entrée libre et gratuite.

samedi 4 octobre 2025

Abattage d'arbres à Martigues

 

 

Abattage d'arbres à Martigues le long de l'A55 : "J'aurais préféré un incendie",

Des habitants vent debout

 

Depuis une dizaine de jours, les habitants de Martigues, qui n’ont reçu aucune explication, assistent à la destruction des espaces boisés qui les protégeaient des nuisances sonores engendrées par l’autoroute toute proche.

"Elle porte bien son nom maintenant, la Gueule d’Enfer !" Ça, c’est Charly Ottavi qui le dit. Il habite au Pati, à quelques encablures de cette impasse qui doit son drôle de nom, explique-t-il, à une ancienne léproserie, nichée autrefois dans le creux des collines. Depuis une dizaine de jours, les lieux sont confrontés à un nouveau fléau : l’autoroute. Ou plutôt, au déboisement radical des grands pins qui la bordaient et protégeaient les habitants du bruit.

Les pins bordant l’A55 à la sortie de Martigues, autour de la Gueule d’Enfer, ont été rasés sans qu’aucune explication ne soit fournie aux riverains ni à la Ville.

Jeudi 2 octobre au matin, devant l’impasse de la Gueule d’Enfer, un grand camion broyeur avalait les troncs fraîchement coupés. "Vous n’avez pas le droit d’être là !" crie au chauffeur Véronique Trinquigneaux, ulcérée. Elle vit ici avec son époux Philippe depuis 26 ans. "Il faut les empêcher de continuer !" s’exclame-t-elle dans la foulée. Pendant ce temps, des policiers municipaux constatent la situation et s’empressent de rentrer faire leur rapport. Ni les habitants, ni la municipalité n’ont été prévenus de ce déboisement, mené par les services de l’État en parallèle des travaux de la bretelle d’accès numéro 2 à l’A55, en direction de Marseille, visant à remplacer les murs de gabion (des murs grillagés remplis de blocs de pierre) par des murs de soutènement en béton. Seulement, le déboisement dépasse largement le secteur. De part et d’autre du pont autoroutier enjambant l’ancienne route de Marseille, tout a été rasé. Allée des Frères Honnorat Et Tarditi, la terre a été mise à nu, de même que sur le talus autrefois densément boisé entre l’autoroute et l’entrée de Martigues, juste en face, côté étang.

Les pins bordant l’A55 à la sortie de Martigues, autour de la Gueule d’Enfer, ont été rasés sans qu’aucune explication ne soit fournie aux riverains ni à la Ville.

"On est comme dans un sandwich ici, fulmine Jean-Marc Mauchauffée, habitant du Pati mais aussi responsable de Génération Ecologie pour l’Ouest de l’étang de Berre. Côté colline, on est soumis au PPRIF ; de l’autre, l’autoroute apparaît au grand jour. Ce qui était un quartier recherché, paisible, verdoyant, ça devient un merdier. Les gens ont l’autoroute dans leur maison !" Philippe Trinquigneaux confirme.

À lire aussi : Intempéries à à Martigues : "Quand les rues se sont transformées en rivières, on a compris que c'était grave"

"On a senti la différence de suite. Le bruit de l’autoroute est bien plus fort. Avant, c’était quand le mistral soufflait, maintenant, c’est tout le temps. En plus, le revêtement sur ce tronçon est l’un des plus bruyants, et les gens ne respectent pas les limitations de vitesse. Les voisins se demandent s’ils ne vont pas quitter le quartier. Moi, j’aurais dix ans de moins, je partirais…" Pendant ce temps, le broyeur continue de réduire en poussière les grands pins entassés au bord de la route, dans un boucan assourdissant. "On ne comprend pas ce qu’il se passe. J’aurais préféré un incendie, que ça brûle, au moins ça aurait été involontaire", surenchérit Charly Ottavi.

"Une catastrophe humaine et environnementale"

Et Jean-Marc Mauchauffée d’exposer : "Ces arbres étaient cinquantenaires, certains centenaires : il n’y a plus rien. Combien de centaines ont été coupées ? Un arbre, ça fait respirer quatre personnes. Ça atténue aussi les canicules : après ça, il faudra se bagarrer pour mettre deux arbres en ville contre les îlots de chaleur ? Et les racines, ça retient la terre : si on a un nouveau déluge comme il y a dix jours, ça va glisser et c’est encore les habitants qui vivent à côté qui en paieront le prix. C’est une catastrophe humaine, écologique, environnementale, et économique : les maisons ont perdu plus de 10% de leur valeur."

Aucune information n’ayant été fournie, personne ne sait jusqu’où s’étendra le carnage. Lors du conseil de quartier de Jonquières-Sud de mardi soir, les services municipaux ont confirmé que les abords de l’A55 étaient voués à être déboisés jusqu’à la sortie de Carry-le-Rouet… La justification évoquée jusqu’à présent (lire ci après) ? La sécurité incendie des bords de l’autoroute.

À lire aussi : Le trafic des trains interrompu entre Martigues et Miramas et entre Miramas et Cavaillon, les 4 et 5 octobre

La préfecture invoque les obligations de débroussaillement

La préfecture confirme que "ces travaux ont été réalisés dans le cadre des obligations légales de débroussaillement [...] Pour l'A55, comme pour l'ensemble des abords autoroutiers des Bouches-du-Rhône, les OLD imposent de maintenir une zone débroussaillée sur 20 mètres de part et d'autre de l'autoroute dans les secteurs identifiés comme "massifs boisés" ou zones à risque." Ce qui est le cas de ce secteur de l'A55. La préfecture ajoute par ailleurs que "ces coupes ont été réalisées dans le cadre de la mutualisation de travaux sur l'A55, la bretelle d'entrée vers Marseille qui a fait l'objet d'une information globale auprès de la mairie de Martigues". Expliquant que la responsabilité du débroussaillement incombe à la Dir-Méditerranée, elle affirme encore : "Aucun déboisement systématique n'a été entrepris sur cette zone."

jeudi 2 octobre 2025

Objet: Réunion ordinaire CIQ

 

Objet: Réunion ordinaire CIQ

Ce jeudi 2 octobre à 17h30 se tiendra la réunion mensuelle.du CiQ
L’ordre du jour
Décision pour les animations à venir.( contenu et date)
Préparation de la rencontre avec la mairie ce vendredi 10 octobre à 17h30 à la maison des Laurons.
René
Secrétaire CiQ

Plages des Laurons