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Le CIQ animera un stand
« Faites des Fleurs »
Le BLOG DES LAURONS LES LAURONS. Petit quartier tranquille situé au bord de mer au sud-ouest de Martigues. Les buts du C.I.Q sont : La Défense des Intérêts des Habitants du Quartier. Les actions envers les Industriels pollueurs. Les relations avec la Mairie. Ses activités. Le C.IQ des LAURONS (association loi 1901) existe depuis 1958. Adresse du Site : https://leblogdeslaurons.blogspot.com/ Mail : ciq.des.lauronsmartigues@free.fr
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« Faites des Fleurs »
Commercialiser
les crabes bleus
faute
de pouvoir les réguler
Exposé sur le marché aux poissons du Vieux-Port vendredi
dernier, le crabe bleu a colonisé l’étang cet été. À Berre, un vent de
panique semble avoir balayé la profession. À quand sa commercialisation ?
Entre avril et juin,
j’avais pêché deux crabes bleus dans l’étang. À la demande du Groupement
d’intérêt public pour la réhabilitation de l’étang de Berre (Gipreb) de Berre,
nous avons lancé les filets pour une campagne de prévention et constaté il y a
48h, une véritable catastrophe écologique. Jusqu’à 40 kg dans un
filet ! », s’exclame Franck Roman, pêcheur professionnel
d’anguilles sur l’étang de Berre. « C’est préhistorique, ils ont
des pinces à vous couper un doigt avec une carapace très dure, des pics de
partout, une véritable arme de guerre. Ils découpent les poissons, les
filets... rien ne leur résiste », poursuit-il encore incrédule.
Le pêcheur espère que la vitesse supérieure va vite être
enclenchée : « C’est tout un écosystème qui est en
jeu. »
Christian Qui est un chef cuisinier marseillais engagé
dans le domaine de la cuisine marine durable. Le crabe bleu, il l’a rencontré
il y a quelques années en Tunisie déjà bien installé sur les îles
Kerkennah : « Là-bas, ils les appellent Daesh car ils
détruisent tous les fonds marins. Ils se reproduisent très vite et dévorent
tout ce qui passe. On ne lui connaît pas de prédateurs à part l’homme et le
poulpe. » Son nom latin est Callinectes sapidus (étymologiquement
« bon nageur savoureux »). Bonne nouvelle, il est comestible. Sa
prolifération quant à elle, semble inéluctable. « Je les ai
observés sous l’eau en Tunisie, ils ont des ailettes sur les pattes qui leur
permettent de se déplacer très vite, de faire de grands bonds », confirme
Christian Qui.
Créer une nouvelle filière
Le
Gipreb connaît bien le fléau qu’est cette espèce. Son directeur,
Raphaël Grisel, témoigne : « Nous bénéficions de l’expérience
des autres lagunes méditerranéennes comme Thau en Occitanie, en Corse ou en
Tunisie. En octobre, lors des premières prises dans les filets, nous avons pu
mettre en place une démarche de régulation scientifique grâce à l’obtention
d’un fonds vert (fonds européen) spécialisé dans la protection de la
biodiversité. Nous avons pu financer les pêcheurs pour faire une étude afin
d’en savoir un peu plus sur cette espèce invasive. Soit localiser ce crabe et
connaître les techniques de pêches les plus efficaces. On parle de pêche
expérimentale. » Les crabes sont ensuite récupérés, mesurés,
identifiés (mâles ou femelles.) Certains d’entre eux seront ensuite marqués par
des balises acoustiques comme pour les poissons « pour voir s’il a
des échanges avec la Méditerranée et les autres lagunes ». La
chaleur de l’eau cet été a fait bondir le nombre de crabes. Si la pêche semble
le meilleur moyen de le réguler, il reste à pouvoir le commercialiser.
Rajoutant : « La filière n’existe pas. C’est le travail qui
nous attend, il faut mettre en place les choses pour pouvoir le consommer et
exploiter sa chair qui est savoureuse. »
Lavéra :
une
torche impressionnante et bruyante
Par Hervé Rico28/08/2024 à 21:52
Le site pétrochimique de Martigues Lavéra
utilise des torches pour se mettre en sécurité en cas d’incident. Celle qui a
illuminé le ciel hier soir, mercredi 28 août, était particulièrement
impressionnante et bruyante.
Hier soir, mercredi 28 août, entre 21h30 et 22 heures,
vous avez été nombreux à regarder du côté du site industriel de Martigues
Lavéra. Une torche très impressionnante et bruyante a été déclenchée pour
mettre des unités en sécurité.
Rien à signaler du côté des pompiers. À 21h45 la plateforme pétrochimique de Lavéra annonçait que le fonctionnement des unités était normal.
Martigues :
les vendanges ont officiellement commencé
Avec
le petit mistral du premier jour, il ne fait pas trop chaud dans les vignes de
Saint-Julien.
2024
sera-t-elle une aussi bonne année que 2023 ?
Avec huit
cépages en vins blancs et sept pour les rouges et les rosés, les 125 hectares
du vignoble de Saint-Julien sont cultivés principalement sous le label Haute
Valeur Environnementale, et aussi en Bio pour un quart de la production.
Avis aux
amateurs de rouges, de blancs et de rosés avec cette vidéo.
Mais d’où viennent ces balises
sur les nageoires
des poissons ?
Par Rémi Liogier
Publié le 25/08/24 à 18:11
PHOTO
DR
Le Gipreb "se réapproprie à l’échelle locale" une
méthode déjà expérimentée par Ifremer, partenaire mentor de l’étude
"Cabecou". L’institut a utilisé ce type de marquage pour étudier des
migrations aquatiques dans le Golfe du Lion.
Berre-l'Étang
En juillet dernier, a été
lancée l’étude "Cabecou". Un programme scientifique, porté notamment
par le Gipreb, qui vise à observer la migration des loups et des daurades entre
la lagune de Berre et la mer Méditerranée. On vous dit tout.
Vous en avez peut-être, tout
récemment, sorti un de l’eau. Plusieurs poissons ont été marqués, à la
mi-juillet, par les équipes du Gipreb, du Parc marin de la Côte bleue et du
Parc national des calanques, dans le cadre d’une étude scientifique commune baptisée
"Cabecou". Rien à voir avec le fromage, cette opération,
financée par le fonds européen Galica, consiste à baliser par dizaines des
loups et des daurades - deux espèces particulièrement ciblées par la pêche
professionnelle - de manière à observer leur connectivité. C’est-à-dire la
manière dont ils migrent entre différentes zones cibles ; en l’occurrence l’étang de Berre, la Côte bleue et les calanques.
"On va faire de la chirurgie"
"L’enjeu de cette étude,
précise Nicolas Mayot, docteur en biologie marine, par ailleurs chargé
de mission au Gipreb, c’est de comprendre la migration des poissons,
d’identifier les couloirs, les périodes de mouvement, les facteurs, mais aussi
les principales zones de reproduction, ou de nourrissage, qui sont encore assez
peu connus (…) Ce travail nous permettra ensuite de mettre en
place des mesures de gestion, c’est-à-dire d’appliquer des protections
spécifiques, ou même de favoriser les échanges si cela est nécessaire."
Justement, le loup et la
daurade ont comme particularité d’être des espèces nomades - une
caractéristique qui intrigue les chercheurs. Autrement dit, ces poissons
alternent toute l’année entre le milieu lagunaire, notamment pour se protéger
des prédateurs ou se nourrir, et la pleine mer, pour s’y reproduire ou passer
l’hiver. Mais alors, comment procède-t-on pour marquer un poisson ? D’abord, il
faut le prélever de son milieu naturel… tout en le maintenant en vie !
Le Gipreb "se réapproprie
à l’échelle locale" une méthode déjà expérimentée par Ifremer, partenaire
mentor de l’étude "Cabecou". L’institut a utilisé ce type de marquage
pour étudier des migrations aquatiques dans le Golfe du Lion. PHOTO DR
À lire aussi : Le poisson et la Méditerranée au cœur de
l'assiette marseillaise
Un défi de taille. "On
travaille pour cela en partenariat avec des pêcheurs professionnels", rassure Nicolas
Mayot. Ceux-ci utilisent des filets ou des palangres. Et ce, le plus
délicatement possible pour ne pas blesser les spécimens en les sortant de
l’eau. Ensuite, "on va faire de la chirurgie", explique le
docteur en biologie marine.
Une balise acoustique est alors
"insérée" à l’intérieur du poisson, dans son ventre - notez
que des effectifs ont été formés à cet effet. Une petite languette de quelques
centimètres, en forme de spaghetti, est aussi accrochée sur le dos ou sur le
flanc, en guise de marqueur externe. Elle se situe le plus souvent au niveau de
l’aileron, ou d’une nageoire.
Pour être efficace, ce
dispositif ne doit, bien entendu, pas perturber l’animal. En parallèle, près de
50 "hydrophones", sorte de petits micros sous-marins capables
d’enregistrer le passage des poissons à proximité, seront installés et
éparpillés dans les trois zones clés. Les signaux captés seront ensuite
interprétés par des chercheurs.
De manière générale,
l’opération "Cabecou" doit permettre aux scientifiques de
récolter un maximum de données, qui seront in fine analysées à froid par les
chercheurs. L’enquête va durer trois ans, mais des résultats préliminaires
pourraient être dévoilés en 2025.
Pêcheurs, à vous de jouer !
Cet été, une quarantaine de
poissons vont être marqués ; quelques-uns le sont depuis février dans les
calanques, et une campagne complémentaire aura lieu "à l’automne".
Au total, 100 spécimens seront balisés, avec une répartition équitable entre
loups et daurades. Si vous prélevez un poisson marqué, libre à
vous de le garder.
En revanche, le Gipreb vous
demande de récupérer à la fois la balise électronique et le marqueur extérieur,
puis de rendre le matériel au syndicat mixte. Pour cause, celui-ci peut tout à
fait être réutilisé ! De plus, les pêcheurs sont invités à noter, dans la
mesure du possible, la date, l’heure, le lieu de pêche, la taille et le poids
du spécimen prélevé.
Chacun amène ce qu’il faut pour une soirée auberge espagnole.
Place limitées.
La
Ville finance les abonnements de transport
des
étudiants et apprentis
Depuis plus de vingt ans, la
Ville prend en charge la quasi-totalité du coût des abonnements de transport
des étudiants et apprentis Martégaux.
Les aides au transport pour les
étudiants et apprentis sont accessibles sur inscription à l’Espace enfance
famille.
Pour cette rentrée 2024-2025, les étudiants et
apprentis Martégaux bénéficieront à nouveau d’une prise en charge de leurs
abonnements de transport, comme l’explique l’adjointe (PCF) à l’éducation Annie
Kinas. « Cette année comme depuis vingt ans, nous aidons les étudiants
qui se rendent à Aix ou Marseille par exemple ». Cette aide se
matérialise « par la prise en charge par la Ville de 200 euros sur
l’abonnement, laissant un reste à charge de 10 euros. » Selon
l’élue, « ils étaient 480 l’année scolaire passée, en légère
augmentation. On atteindra peut-être 500 cette année, mais ça ne sera pas un
problème » pour en être bénéficiaire.
Des inégalités
Dans son rapport annuel sur le
coût de la vie étudiante, l’Union nationale des étudiants de France (UNEF)
souligne « la part non négligeable dans le budget et l’enjeu majeur
pour les étudiants » de ce poste de dépense, « car
indispensable pour se rendre sur leurs lieux d’études ». Les chiffres
nationaux présentés parlent d’un coût de 244,48 euros à l’année en moyenne
pour les boursiers, et vingt-trois de plus pour les non-boursiers (source IPC
Insee 2024, ndlr.). Des chiffres que le syndicat étudiant estime « important
de nuancer » au regard « des fortes variations entre les
territoires », entraînant selon le syndicat « des inégalités
d’accès aux études ».
L'UNEF relève « des tarifs fixés au bon vouloir des
collectivités territoriales, qui décident ou non de mettre en place des
politiques publiques en faveur de l’accès au transport » des
étudiants.
À Martigues, l’adjointe Annie
Kinas regrette cependant que la Métropole, gestionnaire du réseau de transports
public, « ait refusé de financer l’abonnement des collégiens et lycéens »,
tarifé 60 euros. « Jusqu’à l’année dernière, Martigues le prenait
en charge. Notre budget n’étant pas extensible, nous n’avons pas pu continuer »,
malgré l’insistance de la Ville auprès de la Métropole. « On connaît le
prix des études, donc on continue quand même d’aider les étudiants »,
affirme l’élue communiste.
Pour bénéficier de cette aide,
il faut résider à Martigues et avoir moins de 26 ans. Les étudiants et
apprentis doivent se rendre à l’espace enfance famille, dans la Maison du
tourisme face à la mairie. La liste des pièces justificatives à présenter et les
horaires complets sont visibles sur le site internet de la Ville.
Rentrée scolaire
À
Martigues,
230 000 euros
d’achats de fournitures scolaires
dans
les classes
La municipalité communiste de Martigues a
une nouvelle fois procédé à l’achat de 230 000 euros de fournitures
accessibles aux élèves dans les classes.
21/08/2024 | 08h15
Chaque année, la Ville de
Martigues procède à l’achat de fournitures scolaires pour les écoles et ses
4 750 élèves de maternelle et de primaire.
« Chaque direction
commande en amont des fournitures à la Ville et on leur propose de tout :
des cahiers, des gommes, des crayons, qui sont à disposition des enfants qui
n’en auraient pas dans les différentes classes », détaille Annie
Kinas, adjointe à l’Éducation et à l’Enfance au sein de la mairie PCF. « Les
directeurs ajustent les commandes avant la fin de chaque année scolaire en
fonction de leurs stocks et peuvent en recommander au fil de l’année. Ils ont
de quoi dépanner », souligne-t-elle.
Pour cette rentrée
scolaire, 230 000 euros ont été dédiés à ces commandes. Et ce pour
s’assurer d’une chose : que tous les écoliers martégaux puissent débuter
cette nouvelle année « à égalité », martèle l’élue. À cela
s’ajoute la gratuité pour le cinéma, le théâtre et les classes
« découverte ».
résultats CONCOURS DE PÊCHE DU SAMEDI 17 AOUT |
||||
ÉQUIPAGE |
POIDS TOTAL |
PÉCHEURS |
POIDS INDIVIDUEL |
CLASSEMENT |
RAYMOND |
1665 |
1 |
1665 |
1 |
ROLAND/GIANNI/THOMAS |
2260 |
3 |
753 |
2 |
ALAIN/RENÉ |
1502 |
2 |
751 |
3 |
CLAUDE/MICHEL |
1335 |
2 |
668 |
4 |
MANU/JACQUES/PATRICE |
1522 |
3 |
507 |
5 |
ERIC/FRANCK |
892 |
2 |
446 |
6 |
CHARTE TV MAISON des LAURONS du 22avril 2023
En 2023 les associations SNL et CIQ des Laurons ont décidé en réunion de bureau d’installer le wifi à la maison des Laurons et de partager les dépenses d’abonnement .
Elles ont acheté aussi un poste de
télévision.
La télévision servira d’écran pour des présentations de documents nécessaires a
l’information et au bon fonctionnement de chaque association .
Sur les créneaux horaires libres de toutes réservations il sera possible
d’assister à tel événement sportif ou culturel retransmis sur les chaînes de
télévision.
Cette possibilité devient de fait une activité proposée par les associations.
La règle est la suivante.
Toutes les propositions seront adressées aux
présidents des 2 associations Claude LIEUTAUD pour la SNL et Colette LOPEZ pour
le CIQ qui délivreront les clefs du local à une personne qui deviendra le régulateur de la séance.
Ce régulateur devra s’assurer que la salle est disponible,que les personnes
présentes sont membre de l’une ou l’autre des associations et il s’assurera d’une occupation raisonnée de la
salle.
Il respectera les consignes d’occupation de la maison des Laurons. Il assurera
la fermeture du local.
A l’occasion de ces séances les associations ne proposeront à la vente aucune
boisson ni nourriture.
Signature informatique des présidents ou accord verbal.
* modif du 11 août 2024 (Nouvelle
Présidente CIQ)
Les
travaux du viaduc achevés d’ici fin septembre
Prévus au printemps 2024, la fin des travaux de rénovation
du viaduc de Martigues ont pris du retard. Un incident qui prolonge les
limitations de vitesse et la réduction des voies, provoquant l’agacement des
usagers.
À Martigues, les travaux du
viaduc, qui devaient se finir au printemps 2024, vont se poursuivre jusqu’à fin
septembre 2024. Marquant le paysage et le quotidien des Martégaux depuis
des années, le chantier oblige les usagers à rouler à 50km/h contre 90
auparavant, sur des voies réduites et étroites. Des restrictions qui agacent
les Martégaux, comme en témoigne Léna : « 50km/h je trouve ça un
peu exagéré, tout comme mettre des radars qui brûlent toutes les deux semaines. »
Des travaux dont les usagers ne voient pas toujours la nécessité, comme le
confie Mathys, jeune Port-de-Boucain : « Ça fait quand même des
années que le pont est en travaux et pour nous, rien n’a changé. Refaire la
peinture n’a pas vraiment d’utilité, je pense. »
Le chantier a pris du plomb dans l’aile
Stéphane Leroux, directeur
adjoint et ingénieur pour la Dirmed (Direction interdépartementale des routes
Méditerranée), explique ce décalage : « La cause première du
retard du chantier a été un arrêté de l’inspection du travail, qui a jugé du
taux de plomb dans l’air trop élevé... Il y a dû y avoir un arrêt du chantier
et une adaptation du matériel, ce qui nous a fait perdre du temps. »
Ajouter à cela, les aléas météorologiques, la difficulté et la lenteur du
chantier, impossible d’être dans les délais. « Ce sont des échafaudages
qui sont placés tout le long de l’ouvrage », détaille Stéphane Leroux.
« La peinture se fait 15 mètres par 15 mètres, donc ça prend
beaucoup de temps. » Une deuxième phase de travaux est encore en
discussion, visant cette fois-ci à renforcer l’ouvrage métallique. Pour plus
tard.